voyage plongée KiritimatiVoyage plongée Kiritimati

Je suis à Kiritimati, le plus grand atoll du monde et peut-être le plus ancien, coincé entre lagon et océan. L’horizon est partout. Cette ancienne île Christmas, appartient à la république des Kiribati (33 îles réparties entre îles Gilbert, îles Phoenix et îles de la Ligne) dont la capitale est Tarawa-Sud dans l’archipel des îles Gilbert, à 3300 km d’ici (4 heures de vol)... Dive now !
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Séjour plongée Venezuela Los Roques

Un authentique bain de jouvence nous attend à Los Roques. Chaque petit matin, l’eau et le ciel s’unissent dans un bleu acier avec la lagune qui se joint à eux comme au début du monde. Du haut de la terrasse, au premier étage, il est plaisant d’admirer le soleil inonder la plage de ses rayons lentement agressifs. Il dépose sa lumière sur l’ancien phare hollandais qui se dresse au loin, comme pour perpétuer encore un peu de mémoire : tout ici est transparence et légèreté...

C’est l’ultime étape d’un voyage transatlantique à l’approche des deux plongées quotidiennes, juste avant de passer au club pour vérifier le matériel. Juan Carlos, le responsable d’ « Ecobuzos », inspire la confiance et respire la gentillesse.

Après les quarante-cinq minutes de vol en bimoteur qui séparent Caracas de Los Roques, le rêve apparaît enfin. Le globe-plongeur que je suis, se laisse définitivement enivrer par ces décors de rêve. Il fixe l’océan d’azur ourlé de ces longues vagues blanches qui viennent lécher le sable, envoûté par ce pays où la mer est reine, toute en nuance de bleus. Comme par enchantement, les îles, véritables carrefours de nos rêves, livrent ici leur sortilège et le voyage rejoint alors le pèlerinage en soi… L’approche au raz des flots décoiffent le peu de bateaux encrés en bout de piste. Un spectacle plusieurs fois quotidien qui rythme les journées. Une fois l’avion posé, les pélicans reprennent leurs plongeons près de la plage, en quête de nourriture.

Il est des lieux où l’ambiance apaise d’elle-même le voyageur en gommant son décalage horaire. A deux pas du ponton de plongée, la posada « La Cigala », à Gran Roque, en est l’illustre exemple : alliance subtile d’élégance, de charme et de sobriété. La charpente de bois de la toiture contraste avec la blancheur des pièces. Les palmes de deux cocotiers chantent dans le patio intérieur. Les portes sont bleues comme un beau bleu. Le temps s’égraine. Liana et Enrique, francophones, ont l’accueil des gens simples, heureux et chaleureux . Il y a sur l’île, uniquement deux véhicules. Celui qui livre l’eau et celui, chargé du ramassage des ordures. J’assiste aujourd’hui au premier embouteillage de Los Roques, paraît-il : cinq bonnes minutes sont nécessaires pour débloquer la situation au carrefour des routes de sable blanc, qui traversent le petit village aux couleurs vives.


Certains jours, une pluie horizontale entre par la fenêtre de ma salle de bains, pour éclabousser mon visage alors que je me rase. Je profite d’elle et me rince ainsi avec l’eau des dieux ! Sourire dans la tête. Parfois, une coupure de courant qui plonge toute l’île dans l’obscurité, accentue cette ambiance d’isolement. Se poser à Los Roques, c’est plus qu’un simple voyage, c’est une escale au bout de nulle part, une pause hors du temps. Venir jusqu’ici, c’est aller à la rencontre de l’autre, du différent. C’est quitter son quotidien pour franchir les limites du connu, larguer les amarres, se frotter à d’autres réalités, accepter d’être perturbé, pouvoir s’émerveiller des diversités de la Terre, prendre du recul. Apprendre à apprendre pour apprécier enfin l’instant magique à sa juste valeur et vivre comme les heures qui ne cessent de s’étirer tandis que les ombres s’allongent dans le sable. Quelquefois, j’imagine Robinson Crusoé, seul ou presque, sur son île, pendant vingt- huit ans, deux mois et dix neuf jours…

La « Buceadora » est le site de notre première immersion. La bascule arrière s’effectue juste sous la statue de la Vierge de la Vallée, célébrée chaque 8 septembre par les pêcheurs locaux. Déjà, sur un petit fond n’excédant pas la vingtaine de mètres, toute la faune caraïbe est présente. Rien de gros ni de particulier mais profusion d’animaux. Plongée dérivante légèrement dans le sens du courant : même pas mal et que du bonheur ! Les cinquante minutes dans une eau à 28°C vont défiler très vite. Puis, pause collation d’une heure sur l’île Madrizqui avant notre deuxième plongée sur le récif du même nom. Là, moins de poissons mais beaucoup de gorgones, d’immenses octocoraux Plexaurella nutans de presque deux mètres : impression étrange de déambuler au milieu d’immenses chevelures appartenant à des naïades invisibles.

Alexandra et Agustina, les deux débutantes vénézueliennes de la palanquée en ont plein les yeux. Cris dans les détendeurs et beaucoup d’air consommé. Elles vident leur bouteille au bout de seulement trente minutes, mais ont des souvenirs plein la tête. Heureusement, je termine mes cent derniers bars en compagnie du sympathique guide colombien Jorge, passionné aussi de photographie. Il me montre quelques lambis Strombus gigas (Botutos), superbes coquillages aujourd’hui préservés car la pêche intensive à failli provoquer leur perte irrémédiable dans l’archipel ( Vive la Convention de Washington de 1940 ! ).


A la « Piedra Ahogada », la pierre immergée, Juan Carlos s’attarde sur la présence de deux superbes poulpes dans une attitude particulière : probablement un début de parade amoureuse ? Ici, une très longue murène de Java, Gymnothorax funebris, se cache dans une faille. Seule sa queue dépasse ; j’imagine le reste… Mais, la « Guasa » reste tout de même le site de référence du nord de l’archipel, avec ses typiques forêts de gorgones à perte de vue où se faufilent d’innombrables poissons : perroquets noirs Scarus coelestinus et bleus Scarus coeruleus de presqu’ un mètre, avec leur protubérance frontale très proéminente et caractéristique de l’espèce, bancs de petits barracudas Sphyraena picudilla, carangues, poissons-écureuils, poissons-anges Pomacanthus arcuatus et paru, une tortue quelquefois, Caretta caretta ou Eretmochelys imbricata,des Gramma loreto, si jolis, avec leur queue jaune vif et leur tête pourpre.

Certains jours, j’apprécie la découverte terrestre. Je grimpe jusqu’aux ruines du phare hollandais ( XIXème siècle ) qui domine toute l’île : promenade courte ( une heure aller-retour environ ) et pas difficile, pour goûter le fruit rouge et acide du melon épineux Melocactus caesius. Du sommet, je savoure la très belle vue sur les vagues du nord et le village de Gran Roque au sud. Je me balade en barque motorisée (Penero) sur les îlots (cayos) les plus proches, Francisqui ( au nord-est ) et Madrizqui ( au sud-est ), mieux à mon goût car plus grand et surtout plus calme, pour fouler le sable blanc, tout simplement. Je contemple le ballet incessant des frégates, hérons, fous (bobos) et autres pélicans ou Alcatraz, Pelecanus occidentalis, dont les piqués attirent irrésistiblement le regard vers cet immense aquarium. J’aime reconnaître les palétuviers de la mangrove ou encore l’arbre « Raisin de plage », Cocoloba uvifera aux fruits comestibles.

Cet endroit de la planète est, à lui seul, un témoignage authentique et sincère. De jours en jours, je continue ainsi à m’émerveiller des beautés de la nature, des premiers baisers du soleil offerts chaque matin : vers six heures, par la fenêtre ouverte, les ombres des cocotiers entament progressivement leur danse sur les murs de ma chambre tel un ballet exotique. Mon chemin, au fil du temps, bat d’un cœur nouveau : le voyage ici est en moi ! Je me laisse alors, insensiblement, gagner par le charme de cet archipel, avant de m’égarer plus tard derrière l’horizon de mes habitudes…


Les plongées du sud, à trente minutes de Gran Roque, à l’abri des vents du nord-est sont toutes aussi claires et du même ordre : récifs en pente douce jusqu’au sable à quarante mètres, main droite ou main gauche pendant cinquante minutes, désaturation en remontant, avec une visibilité d’un autre monde et des bleus à couper le souffle. Entre les superbes sites « Boca de cote », « Maceta de cote » ou « Boca de las salinas », peu de différence dans le relief et toujours aussi beau. Peut-être un peu plus de requins-nourrices à « Las gatas » ? Sinon, une tortue par ci, une raie par là, pas mal de diodons, assez gros, en couple et, à la remontée, les classiques chasses de carangues en pleine eau. J’adore aussi particulièrement la plongée dérivante le long du tombant de Cayo Sal, au sud-ouest en face des ruines des salines hollandaises datant de 1880. Nous explorons pas moins de sept grottes entre dix-huit et vingt-sept mètres. Le courant nous porte. Le sable blanc renvoie la lumière vive du soleil. Les grosses éponges oranges et les éponges-tuyaux violettes apportent des touches colorées sur les parois noires. Puis, notre regard se tourne vers le bleu de l’océan où les poissons nous attendent.

Stop à Dos Mosquices : une plage et des fonds d’une incroyable beauté. Un voilier unique vient mouiller. Visite de la ferme aux tortues avec explications intéressantes du guide, pour seulement trois mille bolivares. Encore un grand moment paisible emprunté à la vie ! Le trajet de retour se fait sur une mer d’huile en slalomant à travers les baraques de pêcheurs de langoustes ou les cayos déserts surmontés d’un simple parasol, deux chaises et… un couple amoureux .

La traditionnelle plongée nocturne s’effectue sur les petits fonds rocheux de la « Buceadora » : poissons endormis, pagures en vadrouille, crinoïdes épanouies, crabes apeurés et crevettes hypnotisées. Un autre bon point pour Juan Carlos qui incite les plongeurs, débutants compris, à éteindre leur lampe pendant cinq bonnes minutes. Et là, la magie s’opère : le plancton apparaît gros, éblouissant et presque palpable. Après des milliers d’heures sous l’eau, j’avoue être encore émerveillé par ce spectacle teinté de rêve. Ces moments fabuleux devraient être prescrits et remboursés par la Sécurité Sociale ! La surface franchie, le plancton est toujours présent, collé au ciel. Des étoiles plein la tête…


Ce que je ressens à Los Roques, n’est déjà plus mon quotidien. En quelques instants, le présent s’installe, il prend possession de mes sens, de mes regards, de mes pensées. Attentif et sensible, j’avance au fil des jours, vers la découverte car ici, tout est calme. Autour de moi, la mer respire comme une belle poitrine endormie. Le soleil est fort, cuivré, jusqu’à s’empourprer d’émotion quelques heures plus tard après avoir envahi le turquoise du ciel. Je parle alors à la lune pleine en ce moment, qui, sur l’océan, se fond en un flot d’argent. Le spectacle, sur cette île, s’offre à moi sans frime. Ainsi, en paix avec moi-même et avec l’univers, j’ose le goûter sans retenue. La nature m’accepte avec tolérance. Je m’approche des vagues attendries par le récif corallien avec humilité, comme pour mieux leur plaire, en les saluant de mon plus profond respect : assis dans le sable, un peu à l’écart des hommes, j’écoute avec discrétion, la fraîcheur et l’innocence du lieu. D’une grande inspiration, j’ouvre pleinement mon âme. J’essaie de repousser mes limites de la compréhension du monde.

Gran Roque maintenant s’efface et, peu à peu, le lieu s’endort. Seule une barque glisse tandis que le murmure du moteur résonne sur l’eau lisse pour s’enfuir au loin. Le paysage se fige ainsi. La mer et le ciel s’enlacent à nouveau, lentement, comme pour rejoindre l’origine de nos sens. Le moment paraît suspendu. Irréel. Pourtant, ce n’est pas vrai qu’au milieu des océans, le temps n’existe plus. Il semble plus intense, comme si chaque minute refuse de laisser sa place à la voisine. A Los Roques, entouré d’eau, l’horizon lave mes yeux des pensées sombres : je me sens prêt alors à repartir, le cœur plein, à revenir aussi pour retrouver cette île, comme une compagne intime, en souhaitant qu’elle m’attende et que, surtout, elle ne change jamais…

Alors, les mots sensibles et les images merveilleuses continueront à surgir des océans, pour notre plaisir.

Simplement.

Henri ESKENAZI
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Droit de reproduction réservé - Copyright texte et photos Henri Eskenazi

« A une époque où chacun considère l’espace comme la frontière ultime, nous devons garder à l’esprit qu’il nous reste un paquet de choses à découvrir, ici-bas, sur la Terre. »
Robert D. Ballard


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INFORMATIONS PRATIQUES


Les principales plongée à Los Roques :
  • La Buceadora : A 5mn de Gran Roque, petits fonds rocheux
  • La Guasa : A l’ouest de Gran Roque, tortues, barracudas
  • Solapa Rabuqsui : Grottes avec crustacés
  • Boca del Medio : Faune et flore coralliennes variées
  • Cayo Sal : Au sud de l’archipel, murs et grottes avec éponges multicolores et corail noir
  • Boca de Cote : Au sud, tombants avec coraux et carangues
  • Maceta de Cote : Au sud, gros diodons et petite raie pastenague
  • Las Gatas : Requins-nourrices
  • Noronqui : Coraux, alcyonaires et gorgones
  • Nordisqui : Au nord de l’île, épaves et langoustes
  • Boca de Sebastopol : Raies et requins-marteaux quelquefois
  • Piedra Ahogada : A l’ouest, gros rochers et petite grotte vers –10m
  • Boca de las Salinas : Belle visibilité et acroporaux
  • Madrizqui : Belle architecture corallienne
  • Dos Mosquices : Barrière sud de l’archipel avec mérous
Pratique :

Comment s’y rendre ?
Par Air France, via Caracas, la capitale du Venezuela ( environ 9 heures de vol ), une nuit de transit puis 45mn de vol jusqu’à « Gran Roque » ( La Grande Roche ).
ATTENTION : 10kg seulement de bagages autorisés sur le vol intérieur avec 2 000Bs par kilo supplémentaire.

Décalage horaire :
-6h en été, -5h en hiver.

Climat :
Tropical avec température moyenne de 28°C, maxima de 34°C en juillet et minima de 23°C en janvier. Nuits agréablement fraîches car brise nord-est fréquente ( entre 15 et 20km/h ), faiblissant la nuit. Taux d’humidité = 75%. Entre 340 et 680mm de pluie par an. Mois plus secs entre février et septembre. Saison des pluies de juin à novembre. On y plonge toute l’année.

Formalités, douanes :
Passeport valable 6 mois après la date de retour et visa délivré sur place. A prévoir : taxe d’aéroport à Caracas ( 19 000Bs ) et taxe d’entrée au Parc National de Los Roques ( 38 000Bs )

Monnaie :
Le Bolivar, « Bolo » pour les intimes ( Bs ) : 10 000 bolivares = 3 euros environ.

Langue :
L’espagnol. Le français et/ou l’anglais à Gran Roque.

Santé :
Pas de vaccin obligatoire. Moustiques et puripuris ( mouches minuscules ) particulièrement attachants de fin octobre à mi-décembre ! Protection solaire ( 15 minimum ) indispensable.

Courant électrique : 110 volts, prises plates ( à 2 plots ) de type nord-américain (prévoir un adaptateur ).

A tester :
  • Les empanadas, à base de farine de maïs, ces beignets frits d’une quinzaine de centimètres sont fourrés le plus souvent de poulet ( pollo ), de viande de bœuf en lambeaux, façon ragoût ( carne mechada ) ou de fromage ( queso ). Les pâtes à la langouste ( cf. recette ) et le tartare de thon de Liana : no comment !
  • Pâtes à la langouste ( pour 4 personnes ) :
    • Couper la langouste en deux
    • Dans une poêle, faire revenir de l’ail et du poivron piquant dans de l’huile d’olive
    • Faire griller la langouste en la retournant de temps en temps
    • Une fois grillée, mettre un verre de vin blanc et faire réduire
    • Mettre un boîte ( 600g ) de tomates pelées et écrasées dans la poêle + sel
    • Sortir la langouste après un moment pour ne pas que la chair ramolisse
    • Faire cuire 15 à 20mn et couper la langouste en morceaux
    • Mettre la langouste dans la poêle avec du persil frais ( non cuit ) au dernier moment
    • Jeter le tout dans 400g pâtes ( spaghettis ) et déguster…
A feuilleter :
« Venezuela », Le Petit Futé ( Country guide )

A éviter :
« Katamartours » pour les balades sur les cayos et le bar « Nueva Cadiz », sauf si vous ne pouvez vous passer de musique techno à plus de 100 décibels…

Pour dépenser :
2 boutiques agréables : « Luna Blu » et « Chez Marta », non loin de la place Simon Bolivar ( Le Libérateur ) et de la charmante petite église ouverte aux quatre vents.

A savoir :
« Le paradis sur terre » dixit Christophe Colomb ! L’archipel aux pélicans, situé à 80 miles ( 166km ) au nord de La Guaira, le port de Caracas, entre les 11°48’et 11°58’de latitude nord et 66°32’et 66°52’de longitude ouest, est constitué par une formation corallienne qui repose sur un plateau sous-marin, protégé à l’ouest par une barrière de corail. Au centre de cet archipel de 221 120 hectares mesurant 24,6km du Nord au Sud, se trouve un immense lagon de 400km2 qu’encerclent 42 îlots ( cayos ) et environ 250 bancs de sable et récifs qui émergent, à marée basse, de la mer des Caraïbes. L’altitude maximale est de 120m.

Conseil :
Destination sans complexes touristiques ni bars bruyants ni discothèques, réservée aux amoureux de la mer, du soleil, du calme, de la tranquilité et… de la plongée !
Précision : On ne porte pas les bouteilles ( 12 litres aluminium long avec étrier et adaptateurs Din fournis ). 2 bateaux rapides avec 2x130cv ( 10 pax ) et 2x115cv ( 12 pax ).

Le Parc national :
Depuis le 16 août 1972, un décret présidentiel a classé LosRoques en parc national, afin de protéger l’archipel, troisième barrière de corail du monde par sa diversité ( 98% des espèces coralliennes qui existent dans le monde ) et cinquième par sa taille. En 1990, le parc a été divisé en 3 zones :
  • les zones de récréation où l’on peut pratiquer les activités nautiques….. Gran Roque, Francisqui, Rasqui, Madrizqui, Crasqui et Los Tres Noronquises.
  • la zone primitive marine où l’on peut accéder avec une autorisation préalable ( ponte de tortues )….. Dos Mosquises
  • les zones de protection intégrale, véritables sanctuaires, pour les oiseaux notamment
Selon une revue touristique vénézuelienne, « l’authentique trésor de Los Roques commence là où la terre se termine et s’étend jusqu’au fond de la mer. »

A noter :
Les noms des lieux viennent de la traduction, par les pêcheurs, de l’anglais en espagnol. French cay est devenu Francisqui ; Nord east cay, Nordisqui ; Sailors cay, Selesqui et Domus cay, Dos Mosquices.

Le tour opérateur plongée du voyage :
SUBOCEA - Sport Away Voyages
BP 109 - 13321 Marseille Cedex 16
Tél. : 08 26 88 10 20
E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Web : www.subocea.com




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