voyage plongée KiritimatiVoyage plongée Kiritimati

Je suis à Kiritimati, le plus grand atoll du monde et peut-être le plus ancien, coincé entre lagon et océan. L’horizon est partout. Cette ancienne île Christmas, appartient à la république des Kiribati (33 îles réparties entre îles Gilbert, îles Phoenix et îles de la Ligne) dont la capitale est Tarawa-Sud dans l’archipel des îles Gilbert, à 3300 km d’ici (4 heures de vol)... Dive now !
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Voyage plongée: Monalisa à Komodo

Le décor idyllique des Petites Îles de la Sonde se prête à merveille aux fantasmes d’aventuriers des mers du Sud : nonchalance de la glisse sur des eaux saphirs, douceur de la baignade sur des plages de diamant, plaisirs de la navigation à l’ancienne sur un traditionnel Pihinisi choyé par son capitaine Pak Jaffar, plongées d’exception parmi l’esprit des lieux et enfin ivresse des soirées paisibles sur le pont caressé par les seules étoiles.
Komodo est la garantie d’un exotisme chaleureux dans une décontraction totale !...

S’évader le temps d’une croisière, c’est une opportunité de bouleverser son quotidien, de découvrir des univers différents et de multiplier des rencontres enrichissantes. Perle centrale du Parc National, Komodo brille de mille particularités qui en font une exception biologique et un petit paradis. En dialogue permanent avec les forces naturelles, entre vallons et vallées, entre volcans assoupis ou encore actifs, les îles de la Sonde nous offrent un décor particulier parmi les verts ou les jaunes de la végétation et les noirs basaltiques , vestiges d’un passé agité.
Concentré d’images rares à découvrir, l’archipel de Komodo nécessite un bateau pour mieux apprécier ses multiples richesses insulaires. En fait, autour de ces îles originelles qui respirent le calme et la beauté, il existe, sous la surface, une nature bénie pour la plongée sous-marine. Selon la mousson, c’est au nord ou au sud que la croisière se déroule. De plus, les marées offrent, quand on le souhaite, la promesse d’immersions étonnantes de vie.

A quelques miles marins seulement à l’est de Bali, ces multiples îles représentent un contraste frappant de portions de terres sauvages et préservées. Les longues grèves blanches en cinémascope et les fonds marins translucides s’ajoutent ici à la découverte des îles verdoyantes : de véritables édens sur mer bordés de parois escarpées, hantés par des dragons débonnaires venus d’un autre âge ! Komodo, Florès, Rinca et Padar méritent un vrai détour à la rencontre d’une nature immuable depuis les premiers matins du monde.

Au cours de notre croisière avec Monalisa, sur des sites tel Cristal Bommie ( Batu Gili Lawa Laut ), se succèdent des images fortes de temples coralliens, de sculptures tabulaires, de plantations d’alcyonaires multicolores, de poissons aux danses mystérieuses, de scènes idylliques, de vie folle parmi les variétés animales innombrables : tout nous invite ici à l’émerveillement ! Anfractuosités décorées, rochers émoussés de couleurs pastels, caps sous-marins balayés par le courant, fort quelquefois comme sur Castle Rock ( Batu Toko-Toko ) où il nous fait descendre de cinq mètres en quelques secondes en nous balançant de droite à gauche. Au palier, nos masques se remplissent d’eau et les détendeurs se mettent en surpression. Evidemment, cette puissance sous-marine nous permet d’apprécier des bancs de carangues en chasse, quelques requins pointes blanches, des fusillers et des lutjans par milliers qui tapissent le bleu. Un crabe orang-outan, plus timide, se blottit dans une anémone avec trois espèces différentes de poissons-clowns : quelle confrérie !
Rires et joie de vivre de la palanquée en surface. C’était la première fois pour certains… d’autant plus qu’au retour sur Monalisa, quelques raies mantas s’ébattent en surface. Une tortue observe la scène avant de plonger dans le bleu.

Sur le site du Chaudron, Jean-Michel décide de nous faire plonger à l’étal pour laisser un peu reposer nos palmes en observant sereinement une trentaine de perroquets à bosse broutant le substrat et nous gratifier de nuages denses d’excréments. Sympas les poissons !
Un énorme baliste Titan déguste, sans se soucier de ma présence, un gros oursin. Une tentative d’intimidation de sa part vers le dôme de mon caisson photographique me rappelle à la prudence… Un nudibranche dépose délicatement sa ponte. Entre ces multiples scènes biologiques, nous évoluons dans un monde de fantasmes en technicolor ! Encore et encore du beau.
La petite ascension de Pulau Gili Lawa Darat pour observer le coucher de soleil nous permet de dégourdir nos jambes. J’adore particulièrement cette alternance de découvertes aussi intenses à terre que sous l’eau : superposition des gris dans les nuages, deux aigles dans le ciel surveillant leur aiglon encore dans son nid de pierres, quelques dauphins Tursiops truncatus près de nous alors que deux poissons-volants décollent. Les plaisirs se mélangent dans la tête.
Souvent, à l’heure du thé, entre deux parts de gâteau à la banane, notre guide irlandaise Deirdre nous compte ses nombreuses années passées dans la région, avec encore beaucoup de passion à partager… En même temps, Jean-Michel traduit, avec humour souvent, pour ceux qui maîtrisent moins bien la langue de Shakespeare. Des moments intimes dont on raffole, avec vue sur les palétuviers de la mangrove du nord de Komodo et, au loin, sur les palmiers qui frangent la colline. Tic-tac dit l’horloge du temps. Puis les minutes ralentissent jusqu’à devenir des heures alors que les étoiles veillent sur nous et que, peu à peu, le noir absolu enveloppe Monalisa. C’est peut-être cela la théorie de la relativité ?

La plongée sur K2 nous réserve des surprises avec les crabes et les nudibranches jaunes ou noirs dissimulés entre les pattes des crinoïdes aux couleurs identiques. Les juvéniles de gaterins ( Plectorhinchus chaetodontoides ) sont toujours aussi espiègles avec leur corps constamment mobiles, la tête en bas et déguisés en clown, rouge à pois blancs. Ils attirent la sympathie des plongeurs, à l’unanimité !

Une heure plus tard, nos yeux encore plein de souvenirs se délectent du sourire de notre pilote Darwis, coiffé de son chapeau traditionnel avec, comme arrière-plan, le volcan Sangeang qui culmine à 1930 mètres, auréolé de ses nuages blancs. Trois papillons orange nous accompagnent en se jouant des vagues…

Après un mouillage serein dans une baie déserte ( comme toutes les nuits d’ailleurs ! ), notre plongée au nord de l’île Banta reste un vrai dilemme :

- Jean-Michel ( avec l’accent belge ) : « Ici, nous sommes sur le site de Starswar… »
- Deirdre ( avec l’accent irlandais ) : « Non, c’est Starswall !
- Jean-Michel : « Starswar, je te dis. »
- Deirdre : « Je t’assure, on est sur Starswall. »
- Jean-Michel : « Mais il n’y a pas de mur, ça descend en pente douce jusqu’au sable à trente mètres. »
- Deirdre : « Ok mais il y des étoiles, nombreuses et magnifiques. »
- Jean-Michel : « … »
- Deirdre : « Oui, c’est magique au fond. Ca scintille véritablement ! »
Eclats de rire et fin de la discussion.

En effet, une palette de couleurs infinies brillants sous la surface nous ébloui presque, avec une dominante orange due aux alcyonaires très caractéristiques des îles de la Sonde : A rendre jaloux Léonard de Vinci…
Pour moi, la demi-heure en tête-à-tête avec un minuscule crabe orang-outan dans sa superbe anémone reste un vrai régal : il a les muscles, les poils et la couleur du singe dont il porte le nom mais mesure deux centimètres à peine. C’est sûr qu’il n’a pas le doux visage de la Joconde. Une erreur de la nature ? Les biologistes ont vraiment le sens de l’imagination !

Nuit calme dans la baie de Torobatumonco après un coucher de soleil exceptionnel, le volcan en silhouette et une plongée nocturne particulièrement riche, comme à Sabayor également : galathées dans les crinoïdes déployées, crabes dans les anémones, crevettes dans les anfractuosités, plancton luminescent à profusion et… repas pantagruélique avec carry de poulet accompagné de pâtes indonésiennes (contacter l’auteur pour la recette). Hum…
Le réveil à 6.30, un jour de milieu de croisière, nous permet d’apprécier le lever du soleil qui apporte du relief aux nuages et donne vie aux couleurs pastels. Aujourd’hui, visite aux fameux Dragons de Komodo. Le premier varan aperçu mesure presque trois mètres ( à 35 ans ) : impressionnant et pas commode le bougre ! Le guide du site le tient en respect avec un long bâton, d’autant plus qu’il y en a cinq autres autour de nous… sa langue double ne cesse de sortir de sa bouche peu ragoûtante… debout sur ses pattes aux griffes acérées, il n’encourage pas à la discussion. Une bave noirâtre et visqueuse dégouline constamment entre ses dents. Sa peau rugueuse semble défier le temps. Ces animaux antédiluviens peuvent tout de même courir jusqu’à 18 km/h et, paraît-il, on ressort rarement indemme de leur morsure vénéneuse…
Non loin, un buffle sauvage se vautre dans la boue. Prudence. Plus paisible, une biche s’enfuie au loin sur la crête de la colline, contrastant avec l’aspect peu engageant du varan qui avance lentement vers moi. Bon, j’ai compris, je m’éloigne pour lui laisser le passage. Il a le bénéfice de l’âge car il était là bien avant moi : des millions d’années de force tranquille…
Après la bête, Monalisa la belle nous attend, resplendissante dans sa robe blanche.

Au nord-est de l’île de Komodo, Kareng Makasar est le site d’observation, quasi-systématiquement, des raies mantas. Nous ne serons pas déçus : une bonne vingtaine, des gros spécimens, dans moins de dix mètres d’eau. Elles passent et repassent dans le courant pour nous observer, dérivant en PMT, quelquefois accompagnées d’une tortue ou d’une raie aigle. Des requins craintifs frôlent le sable à notre passage. L’eau est claire, chaude et le soleil brille au-dessus de nos tubas : no comment !

Batu Bolong, le rocher troué, nous réserve pas mal de surprises sur sa partie nord avec, entre autres, la copulation de deux mollusques opisthobranches ( limaces de mer ) Nembrotha purpureolineata à moins neuf mètres. A moins six mètres, des centaines de girelles-paons Thalassoma lunare et de poissons-papillons Chaetodon auripes dévorent en quelques minutes seulement toute la ponte d’un couple de sergents-majors Abudefduf vaigiensis, sur un mètre carré : un véritable massacre en direct dans une hystérie collective !
Toutes ces scènes intenses nous ravissent, après avoir aperçu dans la zone des trente mètres, plusieurs requins pointes blanches, des gros napoléons accompagnés de leurs carangues respectives, tels de vieux couples inséparables.

Petit stop d’une heure à Misa, un village de Bajo, ces « gitans de la mer « sédentarisés. Accueil exceptionnellement chaleureux par des centaines d’enfants, par les adultes ainsi que par les personnes âgées, qui n’ont cesse de nous demander d’être pris en photo. J’explose ma carte de 1 giga. Et dire qu’il y a des pays où l’on vous demande de payer ou l’on vous insulte pour cela ! Cultures différentes. Il est vrai que la magie de la photo numérique nous aide bien avec cette possibilité de montrer nos images dans l’instant qui suit la prise de vue. Quatre jours que l’on avait croisé personne : cela fait bizarre de voir autant de monde sur une si petite île.
Puis, navigation de nuit pour atteindre Nusa Kode au sud de Pulau Rinca, une baie très abritée en forme de fer à cheval. Un lac ? Un varan traverse paisiblement la plage à quelques mètres de nous. Dessous, à Cannibal Rock, un sec plonge de cinq à quarante mètres. Deux hippocampes-pygmés (Hippocampus barbiganti) nous attendent à moins vingt-cinq mètres, parfaitement intégrés dans une immense gorgone rouge. Encore, deux nudibranches entrain de copuler sous le regard attendri de leurs collègues de la même espèce : décidément ! Pour les puristes en biologie, de nombreux Pseudocolchirus violaceus de 25 cm, de la famille de Cucumariidae ( holothuries ) jalonnent notre route, étincelants de couleurs vives à travers les multiples crinoïdes, éponges et autres alcyonnaires. Le spectacle nous saute au visage tellement c’est beau ! J’ai rarement observé une aussi grande profusion d’espèces sur un aussi petit territoire. J’en oublie presque le courant et le plancton.


La dernière plongée de nuit sur Torpedo Alley est aussi véritablement magique, du niveau des « muck-dive « internationalement connues : des oursins plats extrêmement colorés avec des crabes particulièrement étranges, des nudibranches à profusion en couple ou avec leurs œufs, des plumes de mer, des poulpes fous, des vers plats originaux, du plancton très lumineux sous le bateau à moins de dix mètres de profondeur. C’est le paradis des biologistes, des photographes naturalistes ou des amoureux de l’étrange. Dix-sept plongées en tout de pur bonheur, sans qu’aucune ne soit ratée.

Dernier stop sur la plage rose de l’île Padar et la boucle est bouclée.
Ainsi, autour de Komodo, j’ai la mémoire vive saturée de millions de petits pixels, aussi lumineux que contrastés, qui se gravent sur mon disque dur : celui, indestructible, qui forge le savoir et rend plus heureux, si ce n’est plus puissant… à 300 giga ?


Henri ESKENAZI
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Site web

Droit de reproduction réservé - Copyright texte et photos Henri Eskenazi

Remerciements : Jean-Michel, Deirdre, Emmanuel, Pierre, l’équipage de Monalisa.


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J'ai aimé :
  • la richesse exceptionnelle des fonds sous-marins (Top 5)
  • le confort raffiné du bateau (deux serviettes propres chaque jour, draps changés en milieu de semaine, savon, shampoing...)
  • le guide francophone
  • les temps de navigation courts
  • l’exotisme de cette destination hors des sentiers battus
  • le bon rapport « plongées-navigation-ballades »

J'ai moins aimé :
  • le bruit du générateur


LES SITES DE PLONGEE
(3 plongées par jour plus 1 de nuit)

  • Nord Komodo (en été, de fin avril à fin octobre, mousson de sud-est) :
Tatawa Besar
Tatawa Kecil
Batu Bolong (Current City) NO et SE
Batu Samsia
Batu Tiga (Three Rocks)
Pantai Mera
Toro Monco
Batu Toko-Toko (Castle Rock)
Batu Gili Lawa Laut (Cristal Bommie)
Gili Lawa Laut Channel (The Cauldron)
Sebayuk (Horseshoe)

  • Sud Komodo (en hiver, de début novembre à début avril, mousson de nord-ouest) :
Pulau Damar
Tanjung Lecok Sera
The end of the World
Toro Bendera (Collen’s Corner)
Batu Gaja
Manta (V)alley (Manta Point)

  • Rinca, Kode et Motong : Kerita Tol
Cannibal Rock
Apple Orchard
Overhang
Crynoid Point
Pyramid
Batu Mandi Rinca
Torpedo
Chinese Wall
Lohkina/Buaja

  • Padar : Pillarsteen
Three Sisters

  • Gili Banta : Tondok Rasa (Roller Coaster)
Tanjung Tondok Rasa
GPS-Point
Galley Rock
Batu Baso

  • Sangeang Island : Black Forest (Hot Rocks)

LE PARC NATIONAL DE KOMODO LE DRAGON DE KOMODO
Il est situé à l’est de l’île de Sumbawa et à l’ouest de l’île de Florès dans les îles de la Sonde en Indonésie.

Il a été créé en 1980 et déclaré Réserve Naturelle par l’UNESCO en 1996.

Il couvre 1817km2 (terre=603km2 + eau=1214km2), date du Jurassique (130 à 134 millions d’années) et s’étend au cœur d’une région nommée «Wallacea» où l’on retrouve une faune mixte à l’Asie et l’Australie.

Son point culminant est le Gunung Satalibo avec 735 mètres d’altitude.

Les températures sont comprises entre 17° et 43°C (novembre) et les précipitations sont de 800mm/an
Varanus komodoensis (Ouwens,1912)

Règne…………………………….…Animalia
Embranchement………………......Chordata
Classe………………………….......Reptilia
Ordre…………………………….….Squamata
Sous-ordre………………………….Autarchoglossa
Famille…………………………......Varanidae
Genre……………………………….Varanus

Le varan de Komodo pèse en moyenne 90Kg (max=166 Kg) et mesure de 2,50m pour les femelles jusqu’à 3,13m pour les mâles. Il peut vivre jusqu’à 50 ans et n’a pas de prédateur.
Il peut courir entre 8 et 10km/h (max=18km/h).
On le trouve dans la forêt, la savane, la plage, la mangrove jusqu’à 450m d’altitude.
On en dénombre 2000 dans la région (1000 à Komodo et 1000 à Rinca). Ses ancêtres remontent à 50 millions d’années et il provient d’un gros lézard de Java ou d’Ausralie (Mecalania prisca) qui existe depuis 30 000 ans.
La saison de reproduction est en juillet-août avec l’éclosion en mars-avril : 15 à 30 œufs (8,6cm x 5,9cm et 105g), une fois par an après 8 à 9 mois d’incubation. A la naissance, le bébé mesure 30cm et pèse 80g.
C’est un animal assez vorace qui peut manger jusqu’à 80% de son poids en une seule fois (un varan de 42kg a dévoré un sanglier de 30kg en 17mn !) mais, en général, il ne mange qu’une seule fois par mois. Sur l’île, il y a eu 8 attaques dont un touriste décédé en 1970.


AVIS DE PLONGEURS

Virginie B.
26 ans, marketing et communication à Hong-Kong, PADI Advanced Open Water (30 plongées), 4 voyages par an à l’étranger.

Mes points forts :
- faune sous-marine extraordinaire
- paysages terrestres superbes
- calme, solitude, isolement
- esprit croisière très diversifié (plongée, PMT, plages, ballades, nature…) et organisation correcte en fonction des éléments (courants,vents)
- réveils toujours fabuleux au milieu de baies magiques et abritées
- bateau traditionnel et luxueux à la fois
- nourriture variée, abondante et délicieuse (je suis assez difficile…)

Mes points faibles :
- il est préférable de venir avec son propre matériel de plongée


Emmanuel B.
36 ans, chanteur classique à Paris, CMAS 2* (100 plongées), 1 à 2 voyages par an.

Pourquoi avoir choisi Komodo ?
Au départ, un petit encart publicitaire et l’extrême éloignement d’une croisière mixte à la voile. Mélange « plongées+voile+snorkling+nature ». Le côté mythique de Komodo.

Comment as-tu réservé ?
Réservation en direct avec Monalisa, via Internet, mais d’habitude je passe par un Tour-Opérateur.

Ton regret ?
Pas de vent donc pas de voile ! Mais, c’est compensé par le plaisir d’une mer calme et la qualité exceptionnelle des plongées.

Les petits plus :
Distributeur d’eau avec notion d’économie et de respect de l’environnement + touches de raffinement (sols intérieurs en galets, vasque en pierre, récipients en céramique…)
PETIT LEXIQUE BAHASA
(langue commune en Indonésie, Malaisie et Singapour)


STOP PLONGEE A ...
BALI :
Atlantis International Bali Dive Center
Jl. By Pass Ngurah Rai #350 Sanur, Bali, INDONESIE
Tel : 00(62) 361 284312
Fax : 00(62) 361 282824
Mob : 081 2380 5767

HONG KONG :
FRENCH DIVERS
16B Peace Tower, 30-32 Robinson Road – Mid Level’s /
HONG KONG
Tel : 00(852) 2523 5268
Fax : 00(852) 2523 5269
Mob : 00(852) 9719 4767
Bonjour : Selamat Pagi (avant 11.00) / Selamat Siang (avant 15.00) / Selamat Sore (de 15 à 17.00) / Selamat Malam (après 17.00)

 
Au revoir : Selamat Tinggal (pour ceux qui restent) / Selamat Jalan (pour ceux qui partent)

Merci : Terima Kasih
S’il vous plaît : Tolong
Ile : Pulau
Grande île : Nusa
Petite île : Gili
Rocher : Batu
Grotte : Gua
Cap : Tanjung
Baie : Jeluk
Plage : Pantai
Courant : Arus
Vague : Ombak
Grand : Besar
Petit : Kecil
Port : Labuan
Bateau : Kapal
Mer : Laut
Eau (potable) : Air (minum)
Soleil : Matahari
Plongée : Selam




CARNET DE VOYAGE


Labuanbajo, départ de la croisière sur Monalisa, est un petit port (Labuan=port et Bajo=gens de la mer), situé au nord-ouest de Florès. De là partent toutes les plongées (une quarantaine répertoriées) autour du Parc National de Komodo, connu surtout pour ses célèbres « dragons ». On y dénombre un millier d’espèces de poissons et près de 300 espèces de coraux.

Informations sur la destination :
  • Vol : environ 16 heures de Paris jusqu’à Denpasar à Bali, puis 1.20 heure jusqu’à Labuanbajo à Florès.
  • Météo : On y plonge toute l’année, au nord ou au sud, selon la mousson.
  • Température moyenne de l’air = 30°C
  • Température moyenne de l’eau = 20° à 27°C
  • Décalage horaire = GMT+7 heures
  • Monnaie = la Roupiah (12 000RP = 1 euro)
  • Formalités, douanes : Passeport en cours de validité et valable 6 mois après le retour. Visa délivré sur place (20 euros) +30 000RP (2,5 euros) à Labuanbajo + 26 euros au Parc National de Komodo.
  • Langues : Bahasa, français et anglais sur Monalisa.
  • Courant électrique : 220 volts, prises françaises
  • Santé : Pas de vaccin. Pas de paludisme à Bali et à Komodo. Pas de moustiques sur le bateau, un peu sur les îles aux heures critiques.
  • A voir, à faire : Visite du Parc National (environ 1 heure), villages de pêcheurs, ballades sur les îles et plage rose.
  • A savoir : c.f. encart ci-avant sur Komodo (Parc National et Dragons)
  • A lire : « The Ring of Fire » et « Atlas mondial des poissons marins » de Kuiter et Debelius aux Editions Ulmer
  • Le bateau : Monalisa
  • Les plongées : c.f. ci-avant encart (sites de plongée)
  • Le caisson le plus proche : à Bali en avion.
Contacts utiles :
  • Office de tourisme à Bali = Jl. S. Parman Niti Mandala Denpasar 80235 Tel : 00(361) 222 387 226 313 Fax : 00(361) 226 313
  • Consul honoraire de France à Bali = Jl. Mertasari Gang 2 N° 8 Banjar Tanjung – Sanur Kauh Denpasar 80227 Tel : 00(361) 285 485 Fax : 00(361) 286 406
  • Consulat Général d’Indonésie = 25 Bd. Carmagnole 13008 Marseille Tel : 04 91 23 01 60 Fax : 04 91 71 40 32
Les plus et les moins : c.f. encart ci-avant (J’ai aimé, j’ai moins aimé)


Contact Monalisa :
  • Tel : 00(852) 2523 5268
  • Fax : 00(852) 2523 5269
  • Mob : 00(852) 9501 0748
Remerciements :

Photo Denfert
Vente de matériels de photo et vidéo sous-marines

Pour ses conseils avisés sur le matériel de photo sous-marine.


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