Plongée sous glace: disparition d'un plongeur
Les recherches pour retrouver un plongeur sous glace, porté disparu samedi dans un lac d'altitude des Hautes-Alpes, ont été infructueuses et reprendront ce jour, même si les chances de retrouver l'homme vivant sont minces.
Situé à 2.200 m d'altitude, le lac des Estaris à Orcières, d'une superficie d'un hectare et profond de 7 mètres, a été partiellement exploré dimanche, en vain, par sept plongeurs de la gendarmerie et des pompiers dans des conditions climatiques peu favorables en raison notamment du manque de visibilité, a affirmé à l'AFP le procureur de la République à Gap, Philippe Toccanier. "Dans un lac de cette température (2°C, ndlr), un plongeur peut rester environ 2 à 3 minutes en apnée sous l'eau. Objectivement, il n'y a aucune raison de le croire encore vivant", a dit le procureur. "C'est une opération très compliquée qui allie plusieurs contraintes - la haute montagne, une visibilité faible, une épaisseur de glace de 1,50 mètre - et des moyens logistiques très importants composés des pompiers plongeurs du département, placés sous le commandement la brigade nautique de Martigues (Bouches-du-Rhône)", a-t-il précisé.
Le plongeur, âgé de 42 ans, originaire de Grenoble et moniteur d'apnée, effectuait samedi après-midi une sortie avec un groupe de dix apnéistes expérimentés, dans lequel figuraient le médecin et l'entraîneur de l'équipe de France de plongée en apnée, a précisé dans un communiqué la mairie d'Orcières. Le quadragénaire, qui n'a pas refait surface, pourrait avoir été victime d'un "phénomène syncopique" lié à la pression et provoquant une perte du sens de l'orientation, ou encore d'un malaise cardiaque, a dit le procureur.
Le corps du plongeur retrouvé...
Le corps d'un plongeur sous glace, porté disparu samedi dans un lac d'altitude des Hautes-Alpes, a été retrouvé mardi après-midi au fond de l'eau, a-t-on appris auprès de Rémi Avos, substitut du procureur de la République de Gap.
"Il était sous l'eau à un endroit de moyenne profondeur" dans une zone qui n'avait pas été encore sondée par les plongeurs de la gendarmerie et les pompiers, a déclaré le magistrat, joint au téléphone par un correspondant de l'AFP. "L'autopsie du corps est prévue jeudi matin", a-t-il ajouté.
Samedi après-midi, la victime, âgé de 42 ans, originaire de Grenoble et moniteur d'apnée, effectuait une sortie dans le lac Long (bien lac Long) à Orcières avec un groupe de dix apnéistes expérimentés, dont le médecin et l'entraîneur de l?équipe de France de plongée en apnée.
Situé à 2.200 m d'altitude et profond de 7 mètres, le lac Long avait été partiellement exploré dimanche par sept plongeurs de la gendarmerie et des pompiers dans des conditions climatiques peu favorables en raison notamment du manque de visibilité.
Le quadragénaire, qui n'avait pas refait surface, pourrait avoir été victime d'un "phénomène syncopique" lié à la pression et provoquant une perte du sens de l'orientation, ou encore d'un malaise cardiaque, selon le parquet.
Le lac Long, qui dépend de la station de sport d'hiver d'Orcières 1850, est exploité par la société de plongée sous glace "Oser Plonger", qui était en charge de l'encadrement de l'exercice, avait précisé la mairie de la commune dans un communiqué dimanche.
Confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Gap, une enquête de flagrance pour "homicide involontaire" a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident et les conditions précises dans lesquelles l'activité s'est déroulée.
Situé à 2.200 m d'altitude, le lac des Estaris à Orcières, d'une superficie d'un hectare et profond de 7 mètres, a été partiellement exploré dimanche, en vain, par sept plongeurs de la gendarmerie et des pompiers dans des conditions climatiques peu favorables en raison notamment du manque de visibilité, a affirmé à l'AFP le procureur de la République à Gap, Philippe Toccanier. "Dans un lac de cette température (2°C, ndlr), un plongeur peut rester environ 2 à 3 minutes en apnée sous l'eau. Objectivement, il n'y a aucune raison de le croire encore vivant", a dit le procureur. "C'est une opération très compliquée qui allie plusieurs contraintes - la haute montagne, une visibilité faible, une épaisseur de glace de 1,50 mètre - et des moyens logistiques très importants composés des pompiers plongeurs du département, placés sous le commandement la brigade nautique de Martigues (Bouches-du-Rhône)", a-t-il précisé.
Le plongeur, âgé de 42 ans, originaire de Grenoble et moniteur d'apnée, effectuait samedi après-midi une sortie avec un groupe de dix apnéistes expérimentés, dans lequel figuraient le médecin et l'entraîneur de l'équipe de France de plongée en apnée, a précisé dans un communiqué la mairie d'Orcières. Le quadragénaire, qui n'a pas refait surface, pourrait avoir été victime d'un "phénomène syncopique" lié à la pression et provoquant une perte du sens de l'orientation, ou encore d'un malaise cardiaque, a dit le procureur.
Le corps du plongeur retrouvé...
Le corps d'un plongeur sous glace, porté disparu samedi dans un lac d'altitude des Hautes-Alpes, a été retrouvé mardi après-midi au fond de l'eau, a-t-on appris auprès de Rémi Avos, substitut du procureur de la République de Gap.
"Il était sous l'eau à un endroit de moyenne profondeur" dans une zone qui n'avait pas été encore sondée par les plongeurs de la gendarmerie et les pompiers, a déclaré le magistrat, joint au téléphone par un correspondant de l'AFP. "L'autopsie du corps est prévue jeudi matin", a-t-il ajouté.
Samedi après-midi, la victime, âgé de 42 ans, originaire de Grenoble et moniteur d'apnée, effectuait une sortie dans le lac Long (bien lac Long) à Orcières avec un groupe de dix apnéistes expérimentés, dont le médecin et l'entraîneur de l?équipe de France de plongée en apnée.
Situé à 2.200 m d'altitude et profond de 7 mètres, le lac Long avait été partiellement exploré dimanche par sept plongeurs de la gendarmerie et des pompiers dans des conditions climatiques peu favorables en raison notamment du manque de visibilité.
Le quadragénaire, qui n'avait pas refait surface, pourrait avoir été victime d'un "phénomène syncopique" lié à la pression et provoquant une perte du sens de l'orientation, ou encore d'un malaise cardiaque, selon le parquet.
Le lac Long, qui dépend de la station de sport d'hiver d'Orcières 1850, est exploité par la société de plongée sous glace "Oser Plonger", qui était en charge de l'encadrement de l'exercice, avait précisé la mairie de la commune dans un communiqué dimanche.
Confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Gap, une enquête de flagrance pour "homicide involontaire" a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident et les conditions précises dans lesquelles l'activité s'est déroulée.