Mariage sous-marin
En plus d’être amoureux l’un de l’autre, Nathalie Pouliot et Cédrik Coia sont amoureux de la plongée sous-marine et de Percé, où ils viennent pratiquer leur sport favori depuis cinq ans. Pour le couple de Laval, la seule façon possible de célébrer leur mariage, c’était à 40 pieds sous la surface de l’eau, au large de l’île Bonaventure, non loin du fameux rocher.
« Le mariage religieux, ça ne nous intéressait pas. Le mariage civil, encore moins », raconte le marié. C’était compter sans les projets de leur ami Georges Mamelonet, maire de Percé et président du Club nautique de la ville, qui mijote depuis cet hiver l’idée de célébrer des mariages sous-marins dans sa ville. « Si vous voulez vous marier, on vous marie les premiers », leur a-t-il lancé.
Le couple a pris la boutade au sérieux. « Percé, c’est une destination qui nous fait triper, et la plongée aussi. (Le mariage sous-marin), c’est quelque chose qui nous ressemble », affirme Cédrik.
Nathalie Pouliot, la mariée, avait revêtu pour la circonstance robe et voile par-dessus son wet suit, tandis que son époux avait fait de même avec son smoking. Les témoins portaient également un chapeau haut de forme.
«Un tapis fait d'algues rouges a même été aménagé pour la cérémonie», dit Martin Plourde, guide de kayak au club nautique qui chapeautait la logistique de la cérémonie. «C'était vraiment presque parfait», poursuit-il. Les onze employés du club ont été mis à contribution pour la cérémonie.
Les témoins avaient déposé les alliances dans une coquille Saint-Jacques et les avaient attachées à du fil de pêche. Une fois les alliances passées aux doigts des mariés le fil a été coupé.
Une quinzaine d'invités ont suivi les mariés sous l'eau, pendant que les autres assistaient à la cérémonie sur un bateau, grâce à des caméras sous-marines.
Le maire de Percé, lui-même plongeur et ami du couple, a célébré le mariage. «J'ai passé près de 1 h 30 sous l'eau, explique-t-il. La mariée s'est fait désirer», ajoute-t-il en riant. Les textes de lois étaient retranscrits sur du papier plastifié, tandis que les échanges étaient faits par signes.
Le maire, qui a passé l'an dernier une résolution au conseil de ville pour célébrer des mariages sous-marins, espère que d'autres couples emboîteront le pas. Il espère répéter l'expérience. D'ailleurs, le Club nautique de Percé a reçu une demande de renseignement pour un éventuel mariage en août.
Sources:
http://radio-canada.ca
http://www.cyberpresse.ca
http://www2.canoe.com
« Le mariage religieux, ça ne nous intéressait pas. Le mariage civil, encore moins », raconte le marié. C’était compter sans les projets de leur ami Georges Mamelonet, maire de Percé et président du Club nautique de la ville, qui mijote depuis cet hiver l’idée de célébrer des mariages sous-marins dans sa ville. « Si vous voulez vous marier, on vous marie les premiers », leur a-t-il lancé.
Le couple a pris la boutade au sérieux. « Percé, c’est une destination qui nous fait triper, et la plongée aussi. (Le mariage sous-marin), c’est quelque chose qui nous ressemble », affirme Cédrik.
Nathalie Pouliot, la mariée, avait revêtu pour la circonstance robe et voile par-dessus son wet suit, tandis que son époux avait fait de même avec son smoking. Les témoins portaient également un chapeau haut de forme.
«Un tapis fait d'algues rouges a même été aménagé pour la cérémonie», dit Martin Plourde, guide de kayak au club nautique qui chapeautait la logistique de la cérémonie. «C'était vraiment presque parfait», poursuit-il. Les onze employés du club ont été mis à contribution pour la cérémonie.
Les témoins avaient déposé les alliances dans une coquille Saint-Jacques et les avaient attachées à du fil de pêche. Une fois les alliances passées aux doigts des mariés le fil a été coupé.
Une quinzaine d'invités ont suivi les mariés sous l'eau, pendant que les autres assistaient à la cérémonie sur un bateau, grâce à des caméras sous-marines.
Le maire de Percé, lui-même plongeur et ami du couple, a célébré le mariage. «J'ai passé près de 1 h 30 sous l'eau, explique-t-il. La mariée s'est fait désirer», ajoute-t-il en riant. Les textes de lois étaient retranscrits sur du papier plastifié, tandis que les échanges étaient faits par signes.
Le maire, qui a passé l'an dernier une résolution au conseil de ville pour célébrer des mariages sous-marins, espère que d'autres couples emboîteront le pas. Il espère répéter l'expérience. D'ailleurs, le Club nautique de Percé a reçu une demande de renseignement pour un éventuel mariage en août.
Sources:
http://radio-canada.ca
http://www.cyberpresse.ca
http://www2.canoe.com