Nouvelle-Calédonie
Plongée Nouvelle-Calédonie
Plongée Nouméa Nouvelle-Calédonie
Textes: Henri Eskenazi
Tirés du livre "Plongée sans frontières"
Editions GAP
L'avantage de la « ville » avec une bonne qualité de vie, liée à l'insularité et au climat tropical particulièrement plaisant. Ne pas rater le « phare Amédée ».
Avec ses 70 000 habitants... Nouméa est la capitale et la seule « grande » ville de Nouvelle-Calédonie. Avec Dumbea et le mont Dore, le grand Nouméa forme une agglomération de presque 100 000 habitants, soit plus de la moitié de la population de l'île. C'est le centre historique de la Calédonie contemporaine avec ses anciens quartiers du centre et de la vallée des Colons et l'ancien bagne de Nouville. C'est aussi le noyau économique que représente l'usine de transformation du minerai de nickel de Doniambo. C'est enfin le carrefour du tourisme renaissant de l'île avec ses plages accueillantes qui s'étendent tout autour des baies de la presqu'île et que l'on contemple du sommet des monts Koghis, à 1061 m. C'est aussi son très beau récif, où l'on peut pratiquer la plongée sous-marine à l'abri de la grande barrière de corail.
De très belles plongées, très diversifiées, avec des épaves et surtout, des raies mantas.
On apprécie les paysages extrêmement variés en traversant la Nouvelle-Calédonie du sud-est au nord-ouest.
Au nord-ouest de la Grande Terre ... Poum, au kilomètre 59, est une petite localité bien située en bordure de la baie de Banaré, du nom de l'officier de marine qui en releva l'hydrographie. Avec ses belles plages et ses îlots ourlés de sable fin : Mouac, Tonaye, Pionne, Yéoué, Paaio et Yaba, cette région offre de magnifiques sites où abondent les possibilités de randonnées à travers les savanes à Niaoulis (Malaleuca leucadendron et Malaleuca viridiflora), arbres de la famille des myrtacées, comme l'eucalyptus.
Les passes du lagon s'ouvrent sur un décor de corail d'une incroyable richesse : gorgones où s'accrochent des ophiures, innombrables comatules, ascidies orangées, coraux de toutes les formes et de toutes les couleurs, En une seule plongée, cinq espèces différentes de requins.
Un site très photogénique offrant encore une bonne raison pour se rendre en Nouvelle-Calédonie, cette Île magnifique et pleine de curiosités.
Petit village perché... sur un promontoire dominant une rivière, des rochers et la mer, Hienghène est une commune de 2200 habitants constituée en 1887. Du col de Hienghène, la vue s'étend des hautes roches noires de Lindéralique, péridotites (d'origine métamorphique et cristalline) étonnamment sculptées par l'érosion, jusqu'au Pacifique, d'où émergent les îles Hienga, Hiengabat et Tiguit. Plus près du rivage, les masses grises des Tours de Notre Dame (appelées aussi la Poule Couveuse ou les Portes de Hienghène) et du Sphinx montent une garde de pierre de chaque côté des rivières Hienghène et Tanghène. Derrière, le mont Panié, point culminant de Nouvelle-Calédonie, dresse jusqu'à 1628 m sa fière silhouette souvent lovée dans les nuages.
On est en plein Pacifique, il y a donc de fortes chances de rencontrer des requins dans le grand bleu.
C'est une île extraordinairement belle. Ses plages valent le détour incontestablement.
Kunié ou l'île des Pins... émerge à 70 km au sud-est de la grande Terre. Elle mesure 18 km de long sur 14 km de large avec 252 km2 de superficie. Elle est dominée par le pic N'Ga (262 m) : « un amer remarquable, parce qu'unique », disait si bien le capitaine Cook qui l'a découverte.
Les brises tempérées de l'océan Pacifique caressent les 60 km de pourtour de l'île des Pins, située presque sur le Tropique du Capricorne. Son centre, volcanique à l'origine, est un aride plateau ferrugineux. La terre rouge est tapissée de courtes fougères et parsemée, d'octobre à mars surtout, de petites orchidées sauvages aux nombreuses nuances de mauve et de rose. Son pourtour corallien, bande côtière de 1 à 8 km de large, est couvert de forêts, fissuré de grottes creusées par les eaux, sauvage, inhabité et dont les plages superbes de sable éclatant, les îlots madréporiques et la beauté du lagon ont valu à cette île sa réputation très justifiée d'« éden océanien ».
Les plongées y sont magnifiques avec une architecture sous-marine particulièrement originale.
Avec ses 70 000 habitants... Nouméa est la capitale et la seule « grande » ville de Nouvelle-Calédonie. Avec Dumbea et le mont Dore, le grand Nouméa forme une agglomération de presque 100 000 habitants, soit plus de la moitié de la population de l'île. C'est le centre historique de la Calédonie contemporaine avec ses anciens quartiers du centre et de la vallée des Colons et l'ancien bagne de Nouville. C'est aussi le noyau économique que représente l'usine de transformation du minerai de nickel de Doniambo. C'est enfin le carrefour du tourisme renaissant de l'île avec ses plages accueillantes qui s'étendent tout autour des baies de la presqu'île et que l'on contemple du sommet des monts Koghis, à 1061 m. C'est aussi son très beau récif, où l'on peut pratiquer la plongée sous-marine à l'abri de la grande barrière de corail.
De très belles plongées, très diversifiées, avec des épaves et surtout, des raies mantas.
- La Passe de Boulari (-I8 m) : Une « classique » de Nouméa avec une vingtaine de requins gris, des raies mantas en file indienne et des tortues.
- La Raie Manta (-28 m) : Des raies mantas, des tortues et des coraux fluorescents. Une belle sculpture métallique de raie manta de 1,50 m.
- La Dieppoise (-27 m) : Epave coulée volontairement près du phare Amédée, très poissonneuse.
- La Grotte (-24 m) : Des tortues dans une grotte et une anémone fluorescente.
On apprécie les paysages extrêmement variés en traversant la Nouvelle-Calédonie du sud-est au nord-ouest.
Au nord-ouest de la Grande Terre ... Poum, au kilomètre 59, est une petite localité bien située en bordure de la baie de Banaré, du nom de l'officier de marine qui en releva l'hydrographie. Avec ses belles plages et ses îlots ourlés de sable fin : Mouac, Tonaye, Pionne, Yéoué, Paaio et Yaba, cette région offre de magnifiques sites où abondent les possibilités de randonnées à travers les savanes à Niaoulis (Malaleuca leucadendron et Malaleuca viridiflora), arbres de la famille des myrtacées, comme l'eucalyptus.
Les passes du lagon s'ouvrent sur un décor de corail d'une incroyable richesse : gorgones où s'accrochent des ophiures, innombrables comatules, ascidies orangées, coraux de toutes les formes et de toutes les couleurs, En une seule plongée, cinq espèces différentes de requins.
- La Passe (-30 m) : A Malabou, de tout : requins à pointes noires, obesus, dagsit albimarginatus et leucas en une seule plongée ! Plus thons, tazars, carangues, barracudas, platax, balistes.
- La Passe de Yendé (-28 m) : Requins gris et obesus plus tazars et barracudas avec des rémoras particulièrement « attachants », tortues et raies-léopards.
- La Passe de la Gazelle (-34 m) : Des requins gris et obesus. Des raies-aigles et léopards.
- Le Jardin (-25 m) : Très belles gorgones et crinoïdes. Napoléons, requins gris et obesus.
- Le Mur (-30 m) : Le tombant jusqu'à – 180 m ! Perroquets à bosse.
- La Patate (-35 m) : Grandiose. Raies mantas, requins albimarginatus et très belles gorgones.
- Les Pitons (-21 m) : Plein de trous, grottes et failles avec toujours des requins.
Un site très photogénique offrant encore une bonne raison pour se rendre en Nouvelle-Calédonie, cette Île magnifique et pleine de curiosités.
Petit village perché... sur un promontoire dominant une rivière, des rochers et la mer, Hienghène est une commune de 2200 habitants constituée en 1887. Du col de Hienghène, la vue s'étend des hautes roches noires de Lindéralique, péridotites (d'origine métamorphique et cristalline) étonnamment sculptées par l'érosion, jusqu'au Pacifique, d'où émergent les îles Hienga, Hiengabat et Tiguit. Plus près du rivage, les masses grises des Tours de Notre Dame (appelées aussi la Poule Couveuse ou les Portes de Hienghène) et du Sphinx montent une garde de pierre de chaque côté des rivières Hienghène et Tanghène. Derrière, le mont Panié, point culminant de Nouvelle-Calédonie, dresse jusqu'à 1628 m sa fière silhouette souvent lovée dans les nuages.
On est en plein Pacifique, il y a donc de fortes chances de rencontrer des requins dans le grand bleu.
- Le Récif de Kaun (-22 m) : Encore des requins gris, obesus et albimarginatus en plus des barracudas, des carangues et des platax.
- Les Grottes (-23 m) : Un véritable dédale d'anfractuosités dans la roche avec autour, des raies montas, aigles et pastenagues.
C'est une île extraordinairement belle. Ses plages valent le détour incontestablement.
Kunié ou l'île des Pins... émerge à 70 km au sud-est de la grande Terre. Elle mesure 18 km de long sur 14 km de large avec 252 km2 de superficie. Elle est dominée par le pic N'Ga (262 m) : « un amer remarquable, parce qu'unique », disait si bien le capitaine Cook qui l'a découverte.
Les brises tempérées de l'océan Pacifique caressent les 60 km de pourtour de l'île des Pins, située presque sur le Tropique du Capricorne. Son centre, volcanique à l'origine, est un aride plateau ferrugineux. La terre rouge est tapissée de courtes fougères et parsemée, d'octobre à mars surtout, de petites orchidées sauvages aux nombreuses nuances de mauve et de rose. Son pourtour corallien, bande côtière de 1 à 8 km de large, est couvert de forêts, fissuré de grottes creusées par les eaux, sauvage, inhabité et dont les plages superbes de sable éclatant, les îlots madréporiques et la beauté du lagon ont valu à cette île sa réputation très justifiée d'« éden océanien ».
Les plongées y sont magnifiques avec une architecture sous-marine particulièrement originale.
- La Passe de Gié (-20 m) : Passe typique du Pacifique avec du « gros » barracudas, tazars, loches, requins et tortues sur fond de coraux mous.
- Le Mur aux Pouattes (-25 m) : Passage de gros animaux : requins essentiellement avec de superbes gorgones.
- La Vallée des Gorgones (-35 m) : Tombant magnifique avec canyons, arches et tunnels recouverts de gorgones où évoluent des requins gris, des raies-léopards et des bancs de carangues.
- Le Récif de Kasmira (-17 m) : Très poissonneux avec la possibilité d'apercevoir des requins-léopards.
- Les Grottes de Gadgi (-5 m) : Très grandes grottes avec beaux jeux de lumière et quelques passages étroits. Langoustes et nudibranches.
- La Grotte de la troisième (-5 m) : Véritablement superbe avec stalactites et stalagmites dans une eau douce, cristalline. Pour plongeurs expérimentés.
Textes: Henri Eskenazi
Tirés du livre "Plongée sans frontières"
Editions GAP
Consultez les offres voyagistes Catalogue des Tours opérateurs plongée |
Devis séjour plongée Formulaire demande en ligne |