Jeunes mammifères marins devant l'objectif de Daniel Rabinovitch
Gymnastique sous l'eau, une mise en scène capturée par le photographe Daniel Rabinovitch, expert en photographie sous-marine.(Photo : Daniel Rabinovitch)
Jeunes mammifères marins devant l'objectif de Daniel Rabinovitch
Exposition mettant en vedette les jeunes du CASO
Les petits athlètes du club aquatique du Sud-Ouest (CASO) figurent sur les oeuvres photographiques d'une exposition au Centre Culturel Calixa-Lavallée, du 18 juillet au 26 août. L'artiste, Daniel Rabinovitch, a éprouvé un plaisir fou à immortaliser leurs sourires et pirouettes au fond de la piscine Saint-Henri.
L'obsession de la photographie sous-marine. C'est la maladie dont souffre Daniel Rabinovitch. Spécialiste dans cette forme d'art, le photographe professionnel est aussi un adepte de la plongée. Il a vécu dans les îles des Caraïbes pour les innombrables trésors que renferment les mers chaudes du Sud.
Mais les photos qui décoreront les murs du centre culturel du parc Lafontaine, ne présentent pas de récifs, de poissons tropicaux, ni d'épaves. Pour la première fois, Daniel Rabinovitch a délaissé les paysages sous-marins à la «Jacques Cousteau» pour les humains. Des enfants. «Un changement de cap», lance-t-il.
Lorsque Daniel Rabinovitch, qui nage plusieurs fois par semaine à la piscine Saint-Henri, a proposé aux entraîneurs du CASO son projet de photographier les jeunes sous l'eau, ils n'ont pas hésité à répondre «oui» et se sont immédiatement emballés à l'idée de donner une visibilité au club d'une façon aussi originale.
De l'eau et de l'art pour une bonne cause
«La piscine Saint-Henri, c'est mon étang préféré», dit le photographe, plongeur et prof de ces deux disciplines.
«Comme beaucoup d'organismes, le CASO a besoin de soutien», explique Daniel Rabinovitch. La moitié des revenus de la vente des photos sera versée au club aquatique.
Le président du CASO, Alain Vaillancourt, se réjouit de la proposition du photographe et de l'attention dont bénéficiera possiblement le club grâce à l'exposition. «C'est en grande partie grâce à Alain si le projet se réalise», souligne généreusement l'artiste photographe, qui s'adonne à son art de prédilection depuis l'adolescence.
Les images ont été offertes à l'établissement de Saint-Henri. Elles serviront peut-être à la confection d'un calendrier et seront mises en ligne sur le site Internet du CASO.
Obsession H2O
«Toute forme de vie provient de l'eau», dit le photographe pour expliquer ce qui a inspiré son oeuvre sous-marine.
«Pour les enfants, l'eau est un lieu magique, un espace extraordinaire dans leur univers. L'eau est une dimension d'apesanteur où l'on peut glisser et s'envoler comme dans nos rêves, la place par excellence pour s'amuser et laisser voguer notre imagination.» Les belles paroles d'un artiste amphibien.
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Jeunes mammifères marins devant l'objectif de Daniel Rabinovitch
Exposition mettant en vedette les jeunes du CASO
Les petits athlètes du club aquatique du Sud-Ouest (CASO) figurent sur les oeuvres photographiques d'une exposition au Centre Culturel Calixa-Lavallée, du 18 juillet au 26 août. L'artiste, Daniel Rabinovitch, a éprouvé un plaisir fou à immortaliser leurs sourires et pirouettes au fond de la piscine Saint-Henri.
L'obsession de la photographie sous-marine. C'est la maladie dont souffre Daniel Rabinovitch. Spécialiste dans cette forme d'art, le photographe professionnel est aussi un adepte de la plongée. Il a vécu dans les îles des Caraïbes pour les innombrables trésors que renferment les mers chaudes du Sud.
Mais les photos qui décoreront les murs du centre culturel du parc Lafontaine, ne présentent pas de récifs, de poissons tropicaux, ni d'épaves. Pour la première fois, Daniel Rabinovitch a délaissé les paysages sous-marins à la «Jacques Cousteau» pour les humains. Des enfants. «Un changement de cap», lance-t-il.
Lorsque Daniel Rabinovitch, qui nage plusieurs fois par semaine à la piscine Saint-Henri, a proposé aux entraîneurs du CASO son projet de photographier les jeunes sous l'eau, ils n'ont pas hésité à répondre «oui» et se sont immédiatement emballés à l'idée de donner une visibilité au club d'une façon aussi originale.
De l'eau et de l'art pour une bonne cause
«La piscine Saint-Henri, c'est mon étang préféré», dit le photographe, plongeur et prof de ces deux disciplines.
«Comme beaucoup d'organismes, le CASO a besoin de soutien», explique Daniel Rabinovitch. La moitié des revenus de la vente des photos sera versée au club aquatique.
Le président du CASO, Alain Vaillancourt, se réjouit de la proposition du photographe et de l'attention dont bénéficiera possiblement le club grâce à l'exposition. «C'est en grande partie grâce à Alain si le projet se réalise», souligne généreusement l'artiste photographe, qui s'adonne à son art de prédilection depuis l'adolescence.
Les images ont été offertes à l'établissement de Saint-Henri. Elles serviront peut-être à la confection d'un calendrier et seront mises en ligne sur le site Internet du CASO.
Obsession H2O
«Toute forme de vie provient de l'eau», dit le photographe pour expliquer ce qui a inspiré son oeuvre sous-marine.
«Pour les enfants, l'eau est un lieu magique, un espace extraordinaire dans leur univers. L'eau est une dimension d'apesanteur où l'on peut glisser et s'envoler comme dans nos rêves, la place par excellence pour s'amuser et laisser voguer notre imagination.» Les belles paroles d'un artiste amphibien.
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