La nage avec palmes
Pratiquée pour le plaisir ou en compétition, la nage avec palmes s’apparente à un sport de glisse.
Les championnats du monde se sont déroulés à Bari, en Italie, en août dernier. La France s’y est illustrée et a rapporté une moisson de médailles d’or et d’argent.
Pratiquée pour le plaisir ou en compétition, la nage avec palmes s’apparente à un sport de glisse. Chaussé d’une monopalme ou de bi-palmes, le nageur peut atteindre des vitesses de 12 à 14 km/h. Les bras sont en avant du corps pour équilibrer le mouvement ondulatoire du corps et des jambes qui sert de propulseur. Pour un peu, on se prendrait pour un dauphin.
Cette technique de nage muscle les jambes, renforce le gainage musculaire de la colonne vertébrale. Elle se révèle idéale pour résoudre de nombreux problèmes dorsaux liés au stress ou aux mauvaises postures.
En piscine, en plus du maillot, du bonnet et des lunettes, il faut s’équiper d’un tuba frontal. Pour une pratique en immersion, il faut ajouter un détendeur et bouteille d’air comprimé (jusqu’à 5 l). En milieu naturel, les distances variant de 6000 m à 20 km, la combinaison de néoprène est indispensable.
Le monopalme, large voilure en fibre de verre ou de carbone, est particulièrement adapté aux sorties en milieu naturel. Il muscle efficacement jambes et mollets.
Longues ou courtes, dures ou flexibles, les bipalmes s’adaptent aux objectifs de chacun. Pour galber les fessiers, mieux vaut en choisir des longues (30 cm), pour des cuisses fuselées, une paire légère, en EVA (éthylène, vinyle et acétate). Pour progresser en endurance, les courtes (10 cm) sont les plus efficaces. Elles permettent aussi un palmage rapide, idéal pour gagner en vitesse.
La nage à palmes se pratique en piscine ou en milieu naturel (lac, rivière, mer), en surface avec un tuba frontal, en apnée (sur 50 m uniquement) ou en immersion avec une bouteille d’air comprimé.
www.nageavecpalmes-ffessm.com
Les championnats du monde se sont déroulés à Bari, en Italie, en août dernier. La France s’y est illustrée et a rapporté une moisson de médailles d’or et d’argent.
Pratiquée pour le plaisir ou en compétition, la nage avec palmes s’apparente à un sport de glisse. Chaussé d’une monopalme ou de bi-palmes, le nageur peut atteindre des vitesses de 12 à 14 km/h. Les bras sont en avant du corps pour équilibrer le mouvement ondulatoire du corps et des jambes qui sert de propulseur. Pour un peu, on se prendrait pour un dauphin.
Cette technique de nage muscle les jambes, renforce le gainage musculaire de la colonne vertébrale. Elle se révèle idéale pour résoudre de nombreux problèmes dorsaux liés au stress ou aux mauvaises postures.
En piscine, en plus du maillot, du bonnet et des lunettes, il faut s’équiper d’un tuba frontal. Pour une pratique en immersion, il faut ajouter un détendeur et bouteille d’air comprimé (jusqu’à 5 l). En milieu naturel, les distances variant de 6000 m à 20 km, la combinaison de néoprène est indispensable.
Le monopalme, large voilure en fibre de verre ou de carbone, est particulièrement adapté aux sorties en milieu naturel. Il muscle efficacement jambes et mollets.
Longues ou courtes, dures ou flexibles, les bipalmes s’adaptent aux objectifs de chacun. Pour galber les fessiers, mieux vaut en choisir des longues (30 cm), pour des cuisses fuselées, une paire légère, en EVA (éthylène, vinyle et acétate). Pour progresser en endurance, les courtes (10 cm) sont les plus efficaces. Elles permettent aussi un palmage rapide, idéal pour gagner en vitesse.
La nage à palmes se pratique en piscine ou en milieu naturel (lac, rivière, mer), en surface avec un tuba frontal, en apnée (sur 50 m uniquement) ou en immersion avec une bouteille d’air comprimé.
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