Grèce: le plongeur-spéléologue vaudois disparu a été retrouvé mort
Un plongeur-spéléologue vaudois de 67 ans qui n'était pas remonté à la surface lundi lors d'une descente dans un siphon en Grèce a été retrouvé sans vie. Un plongeur italien a pu récupérer son corps à 98 mètres de profondeur.
D'autres plongeurs grecs et italiens sont intervenus dans l'opération de recherche, a indiqué dans un communiqué le Spéléo-secours suisse, qui a coordonné cette opération. Des plongeurs suisses étaient prêts à rejoindre ces hommes en cas de besoin.
Le siphon de Lili, dans le Péloponnèse, est connu jusqu'à une profondeur de 140 m. En Europe, seuls une dizaine de plongeurs sont capables de descendre dans cette grotte sous-marine, avait expliqué hier à l'ATS un responsable du Spéléo-secours suisse, Rémy Wenger. Expérimenté, le Vaudois décédé avait formé de nombreuses personnes à la plongée.
Lors de sa plongée lundi, il avait une autonomie de quatre heures et il était prévu qu'il change de bouteille en remontant, à une profondeur de 50 mètres. Les plongeurs grecs qui l'assistaient n'avaient pas "une technique suffisante" pour tenter de le récupérer, a indiqué M. Wenger. La mission a été confiée au plongeur italien qui est descendu pour le retrouver et qui se trouvait en Crète au moment du drame.
Selon M. Wenger, l'activité de plongeur-spéléologue est risquée mais les accidents sont moins nombreux qu'il y a "dix ou vingt ans". Des calculs précis sont réalisés avant chaque plongée pour évaluer la quantité d'air ou encore le niveau et la durée des paliers.
D'autres plongeurs grecs et italiens sont intervenus dans l'opération de recherche, a indiqué dans un communiqué le Spéléo-secours suisse, qui a coordonné cette opération. Des plongeurs suisses étaient prêts à rejoindre ces hommes en cas de besoin.
Le siphon de Lili, dans le Péloponnèse, est connu jusqu'à une profondeur de 140 m. En Europe, seuls une dizaine de plongeurs sont capables de descendre dans cette grotte sous-marine, avait expliqué hier à l'ATS un responsable du Spéléo-secours suisse, Rémy Wenger. Expérimenté, le Vaudois décédé avait formé de nombreuses personnes à la plongée.
Lors de sa plongée lundi, il avait une autonomie de quatre heures et il était prévu qu'il change de bouteille en remontant, à une profondeur de 50 mètres. Les plongeurs grecs qui l'assistaient n'avaient pas "une technique suffisante" pour tenter de le récupérer, a indiqué M. Wenger. La mission a été confiée au plongeur italien qui est descendu pour le retrouver et qui se trouvait en Crète au moment du drame.
Selon M. Wenger, l'activité de plongeur-spéléologue est risquée mais les accidents sont moins nombreux qu'il y a "dix ou vingt ans". Des calculs précis sont réalisés avant chaque plongée pour évaluer la quantité d'air ou encore le niveau et la durée des paliers.