Opération séduction à Paris pour lors du Salon de la Plongée 2008
Lors du prochain salon de la plongée sous-marine, qui se déroule au parc des expositions de Paris du 11 au 14 janvier, cinq professionnels réunionnais ainsi que la nouvelle structure de promotion du tourisme, l’IRT, seront de la partie.
L’objectif est de conquérir davantage de clientèle en France et, au-delà, en Europe. Rappelons qu’avec près de 100 000 immersions par an (avant la crise du chik), la plongée représente la seconde activité touristique de l’île après la randonnée, en terme de fréquentation. Elle compte aujourd’hui 22 clubs à vocation commerciale et 25 associations. Et ce sport-loisirs compte à la Réunion avec des atouts non négligeables. “Nous avons un lagon bien mieux préservé qu’aux Seychelles ou à Maurice. Les conditions de visibilité sont souvent exceptionnelles. Par exemple à Saint-Leu, nous avons une faune riche, unique pour certaines espèces, du corail encore bien préservé”, souligne Sébastien Pomarède, le patron du club Excelsus à Saint-Leu. Il sera présent au rendez-vous parisien. Il poursuit : “D’ailleurs, on voit de plus en plus d’Italiens, des Belges ou des Suisses plonger à la Réunion. J’ai commencé il y a dix ans et la tendance est vraiment là. Il ne se passe plus une semaine sans que des visiteurs autres que métropolitains ou Réunionnais ne fassent appel à nous”. En revanche, Sébastien Pomarède note :
“Nous devons jouer la carte des multi-activités. On ne pourra pas rivaliser avec des destinations estampillées plongée comme l’Égypte ou les Maldives. Et pour cause, le prix d’un séjour plongée tout compris en Mer rouge équivaut à celui d’un billet d’avion pour notre île. Mettre en avant la complémentarité s’impose. Il faut promouvoir l’île avec tous ces atouts : les cirques, le volcan, la faune marine avec les baleines et les dauphins, la pratique du parapente, du surf… et bien entendu la plongée”. Quant à la situation actuelle, en pleine haute saison (été et vacances), Sébastien Pomarède analyse : “C’est la première véritable saison d’après-chik. On sent d’ailleurs un retour touristique important au centre. Reste que beaucoup de voyageurs découvrent encore à la dernière minute l’activité. S’ils s’étaient douté des sites exceptionnels que nous avons, ils auraient peut-être davantage plongé”. Comme quoi, l’information auprès du public est encore nécessaire. La présence réunionnaise au salon doit permettre cela.
L’objectif est de conquérir davantage de clientèle en France et, au-delà, en Europe. Rappelons qu’avec près de 100 000 immersions par an (avant la crise du chik), la plongée représente la seconde activité touristique de l’île après la randonnée, en terme de fréquentation. Elle compte aujourd’hui 22 clubs à vocation commerciale et 25 associations. Et ce sport-loisirs compte à la Réunion avec des atouts non négligeables. “Nous avons un lagon bien mieux préservé qu’aux Seychelles ou à Maurice. Les conditions de visibilité sont souvent exceptionnelles. Par exemple à Saint-Leu, nous avons une faune riche, unique pour certaines espèces, du corail encore bien préservé”, souligne Sébastien Pomarède, le patron du club Excelsus à Saint-Leu. Il sera présent au rendez-vous parisien. Il poursuit : “D’ailleurs, on voit de plus en plus d’Italiens, des Belges ou des Suisses plonger à la Réunion. J’ai commencé il y a dix ans et la tendance est vraiment là. Il ne se passe plus une semaine sans que des visiteurs autres que métropolitains ou Réunionnais ne fassent appel à nous”. En revanche, Sébastien Pomarède note :
“Nous devons jouer la carte des multi-activités. On ne pourra pas rivaliser avec des destinations estampillées plongée comme l’Égypte ou les Maldives. Et pour cause, le prix d’un séjour plongée tout compris en Mer rouge équivaut à celui d’un billet d’avion pour notre île. Mettre en avant la complémentarité s’impose. Il faut promouvoir l’île avec tous ces atouts : les cirques, le volcan, la faune marine avec les baleines et les dauphins, la pratique du parapente, du surf… et bien entendu la plongée”. Quant à la situation actuelle, en pleine haute saison (été et vacances), Sébastien Pomarède analyse : “C’est la première véritable saison d’après-chik. On sent d’ailleurs un retour touristique important au centre. Reste que beaucoup de voyageurs découvrent encore à la dernière minute l’activité. S’ils s’étaient douté des sites exceptionnels que nous avons, ils auraient peut-être davantage plongé”. Comme quoi, l’information auprès du public est encore nécessaire. La présence réunionnaise au salon doit permettre cela.