Nettoyage en plongée après le feu d'artifice !
Dix mille bombes, 3 000 chandelles et autant d’étincelles dans les yeux des spectateurs. Voilà la recette du festival d’art pyrotechnique, qui s’est achevé ce dimanche. Après le spectacle, il a fallu faire place nette. Alors que d’un côté on mettait les barges de mise à feu au placard en attendant la prochaine édition, de l’autre on nettoyait les abords sous-marins des aires de lancement.
A plus de trois cents mètres de la terre ferme, quatre plongeurs ont sondé les fonds et ratissé posidonies et vase à la recherche des résidus des six feux d’artifice qui ont embrasé la baie durant tout l’été.
Une vingtaine de sacs
Dans l’eau sont retombés plastique, aluminium, carton, papier mais point de substances chimiques, assure-t-on du côté du Palais des festivals. “Les compagnies sont aujourd’hui soucieuses de la protection de l’environnement et utilisent en priorité des matériaux biodégradables.” Et si les artificiers font preuve d’égards vis-à-vis de la planète, il semblerait que tout le monde n’en soit pas encore là.
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Dans le résultat de la pêche, les plongeurs n’ont pas remonté que les seuls résidus de la fête pyrotechnique : “Nous avons repêché les obus de mortiers, les tourniquets, mais aussi des gobelets, des canettes en aluminium et cette fois un mât de planche à voile !” a indiqué Yves Lamblard, capitaine du Fique-Fleur, le bateau de plongée appelé pour l’occasion.
Source: Fabien Binacchi
Metrofrance.com - Cannes
A plus de trois cents mètres de la terre ferme, quatre plongeurs ont sondé les fonds et ratissé posidonies et vase à la recherche des résidus des six feux d’artifice qui ont embrasé la baie durant tout l’été.
Une vingtaine de sacs
Dans l’eau sont retombés plastique, aluminium, carton, papier mais point de substances chimiques, assure-t-on du côté du Palais des festivals. “Les compagnies sont aujourd’hui soucieuses de la protection de l’environnement et utilisent en priorité des matériaux biodégradables.” Et si les artificiers font preuve d’égards vis-à-vis de la planète, il semblerait que tout le monde n’en soit pas encore là.
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Dans le résultat de la pêche, les plongeurs n’ont pas remonté que les seuls résidus de la fête pyrotechnique : “Nous avons repêché les obus de mortiers, les tourniquets, mais aussi des gobelets, des canettes en aluminium et cette fois un mât de planche à voile !” a indiqué Yves Lamblard, capitaine du Fique-Fleur, le bateau de plongée appelé pour l’occasion.
Source: Fabien Binacchi
Metrofrance.com - Cannes
