La chasse au trésor 2008 en Egypte
Du 16 au 19 novembre 2008, le sud de l’Egypte a été le théâtre de la version internationale d’Objectif Atlantide, évènement phare de la plongée sous-marine, réalisé grâce au savoir faire de l'équipe Objectif Atlantide et au soutien sans faille du tour-opérateur Blue Lagoon. L’équipe de Red Sea Diving Safari a, à cette occasion, fait preuve d’un très grand sens de l’accueil, qui a permis à tous les participants de passer une semaine fantastique...Cette chasse au trésor, que les plongeurs méditerranéens connaissent bien, permet à tout un chacun de réaliser un rêve et de s’immerger dans une aventure rocambolesque alliant intrigues et réflexion. Quelques jours de recherches acharnées, mêlant compétition, alliances, négociations et surtout bonne humeur : de quoi donner envie à tout le monde d’aller tenter l’aventure.
Après Rodrigues il y a deux ans, c’est à Marsa Nakari, dans un petit écolodge, que 13 équipes d’aventuriers se sont retrouvées pour 4 jours de compétition, où les neurones ont au moins autant chauffé que les palmes. Le but du jeu est très simple, le moyen d’y arriver nettement moins. Chaque équipe de trois plongeurs dispose d’un dossier de près de 80 pages, racontant l’histoire d’un naufrage, entre autre, dans lequel sont soigneusement cachés nombre d’indices. Autant dire que les premières heures du jeu, les yeux des joueurs se perdent dans les cartes, les photos satellites, lisent et relisent des infos sur l’histoire de l’Egypte ou sur des missions de la Calypso, quand ils n’essayent pas d’interpréter une fable de La Fontaine ou de décrypter les dernières paroles d’un mourant.
La qualité du scénario, qui nécessite des organisateurs un an de travail, saute aux yeux immédiatement. Les équipes doivent retrouver un trésor principal (cette fois-ci un vase contenant les pierres de Râ), ainsi que deux butins, sorte de trésors secondaires. Pour ce faire, ils doivent récupérer des indices, sur terre, en mer, où même pendant certaines animations (lors d’une cérémonie bédouine par exemple). Idée géniale, à Marsa Nakari, les concurrents disposent de deux moyens de transport : d’antiques taxis 504 (qui ont rajouté bien du piment), et des bateaux pneumatiques. Chaque équipe utilise alternativement l’un et l’autre, par demi-journée, ce qui oblige tout le monde à être méthodique dans ses investigations, certains sites de plongée étant plus facilement accessibles par bateau, et inversement. A chaque plongée, un membre de l’équipe assure la sécu surface, sur le bateau ou à terre. L’organisation a tout prévu, des cartes de téléphone égyptiennes sont distribuées dès le départ aux participants afin que tout problème puisse être géré au plus vite et deux bateaux de sécurité sont mouillés en limite de zone. Le nombre de plongées n’est pas limité, la seule contrainte : chaque équipe ne dispose que de deux blocs par demi-journée. Les indices se trouvant toujours dans la limite des 18 mètres, et les conditions étant idéales, cela permet de bien en profiter. Charge aux équipes de gérer leurs explorations comme elles le souhaitent.
Exceptionnellement, la première plongée s’est effectuée pour toutes les équipes sur le même récif. Les participants gonflés à bloc sont tous descendus en même temps sur un tombant où étaient dissimulés des dizaines de kilos de (fausses) amphores arborant des inscriptions en hiéroglyphes. En quelques secondes, la fièvre du trésor saisit tout le monde et c’est un spectacle particulièrement amusant que de voir tout un tas de plongeurs sains d’esprit parcourir en long et en large le récif en jetant des regards noirs à ceux qui ont déjà des tessons plein les bras. Certaines équipes remontent le sourire aux lèvres, nettement alourdies. D’autres font un peu grise mine avec leur maigre récolte. Le triomphe des uns et le désarroi des autres ne feront cependant pas long feu. Il ne faut pas bien longtemps pour décrypter les inscriptions à l’aide du dossier, et pour que chacun se rende compte que ceux qui ont ramassé des kilos de poterie se font fatigués pour rien. Les inscriptions ont beau ne pas être écrites de la même façon, elles sont toutes identiques. Ce sont les organisateurs qui ont bien rigolé !
Dès le lendemain, certains indices cruciaux sont découverts, à terre ou le long des récifs. Il faut d’ailleurs noter à quel point le staff de la chasse au trésor a su utiliser les possibilités géographiques du lieu. Certains indices sont cachés dans des ruines, d’autres sont en rapport avec le paysage (un rocher en forme de tête de serpent etc.…). Dès le départ, quelques équipes prennent de l’avance grâce à la découverte de morceaux de cartes. Mais Objectif Atlantide est un jeu plein de rebondissements où il ne suffit pas toujours de partir le premier… D’autres équipes, plutôt larguées en ce qui concerne le trésor, ne sont pas désoeuvrées pour autant et se lance à la recherche d’un butin. La Pierre bleue de Nout aura ainsi fait plonger, palmer, fouiller, marcher (plus de 12 kilomètres en pleine nuit pour certaines équipes), et fait chauffer les GPS. Les demi-journées passent et les messes basses à l’heure du repas vont bon train. Les rumeurs courent vite : telle équipe est à deux doigts du trésor, telle autre est sur la bonne piste mais il lui manque un indice, etc… En fait, aucun participant ne sait ce que recèle exactement le sac filet ou la poche de stab de ceux qui viennent de rentrer, ce qui est on ne peut plus excitant. D’autant que l’intox bat son plein, certains joueurs s’en font même une spécialité (c’est ainsi que des dollars ont fleuris dans le désert).
Arrive enfin la dernière après-midi, si souvent décisive dans les précédentes éditions d’Objectif Atlantide. Même les quelques équipes ayant abandonné les recherches faute d’indices brûlent d’impatience tout en plongeant sur les plus beaux récifs de la côte.
Au retour de plongée, les suppositions vont bon train. Personne n’avoue avoir trouvé le trésor… Toutes les équipes déjà rentrées s’interrogent et on commence à repérer les absents. L’équipe des bordelais, les Skletors, manque toujours à l’appel. « Ils ont plongé à deux endroits différents cette après-midi et là ils sont repartis »… ha ha, ils doivent être sur la bonne piste. Tout le monde les attend donc avec impatience. Et, à leur retour, les cerveaux s’emballent : eux non plus n’ont pas le trésor. Est-ce que quelqu’un l’aurait trouvé sans hurler sa victoire… peu probable. Alors que tout le monde a des questions plein la tête, le moment tant attendu arrive. Daniel Méouchy, responsable d’Objectif Atlantide, commence la cérémonie de remise des prix. Et c’est une grande première dans l’histoire du jeu, personne n’a remonté le trésor ! L’équipe étant la plus proche de la découverte et possédant le plus d’indices décisifs est déclarée gagnante. C’est donc l’équipe des bordelais qui triomphe, ils possédaient en effet tous les indices les menant au trésor, mais ils n’ont pu poursuivre leurs recherches, par manque d’air dans leur bouteille. Même si l’on ne peut cacher une légère déception, il faut noter l’efficacité avec laquelle les organisateurs d’Objectif Atlantide ont su gérer une situation inédite et délicate. L’équipe des pompiers de Paris Yachts de Paris - Scubapro a quant à elle remonté un des deux butins, la Pierre bleue de Nout qui avait fait passer des nuits blanches à quelques participants.
Virginie, la grande maîtresse du scénario et de l’intrigue d’Objectif Atlantide, explique alors les zones restées obscures à ceux qui n’avaient pas trouvé d’indices. L’imagination déployée est particulièrement impressionnante. Dauphin en terre cuite, bonnet rouge cher à l’équipage de la Calypso, véritable os de tortue portant des inscriptions, faux carnets de plongée, etc… Dans la chasse au trésor, il ne suffit pas de trouver des indices, il faut également faire preuve de subtilité pour les interpréter. Après toutes ces révélations, les neurones peuvent se détendre à l’apéro.
Le reste du séjour, qui s’étale en tout sur une semaine, permet aux différentes équipes de se retrouver lors de plongées d’exploration plus habituelles, à Elphinstone ou Dolphin House par exemple. Objectif Atlantide remplit donc parfaitement son contrat, offrir une part de rêve aux participants, qui se mettent dans la peau de véritables chercheurs de trésor tout en découvrant des sites de plongées et une région du monde de manière originale. Il faut d’ailleurs noter la volonté de respect de l’environnement qui transparaît à travers la Chasse au trésor. Outre le fait de loger les participants dans les tentes d’un écolodge, l’organisation a fait nettoyer des marsa (petites criques donnant sur le récif) où stagnaient nombre de déchets portés par la mer dans ces recoins du sud de l’Egypte. Les chargements de dix camions de déchets ont ainsi pu être incinérés. Une goutte d’eau dans l’océan, mais c’est déjà ça !
Un des intérêts de cette chasse vient de la diversité des treize équipes engagées. L’on y trouve à la fois des plongeurs de métiers, comme les deux équipes de pompiers de Paris (Bateaux mouches - Scubapro et Yachts de Paris – Scubapro), une équipe de la Marine Nationale (Navfco – Aqualung), l’équipe entièrement féminine d’Aqualung O Féminin avec notamment Caroline Avon, une équipe d’acteurs de la série télé Plus belle la Vie (Blue Lagoon), l’équipe de la FFESSM, des équipes sponsorisées (Le Vieux Campeur) et d’autres qui ont elles-mêmes réalisé des t-shirt avec leur propre logo, ainsi que des équipes du bout du monde. L’une d’elles venait tout droit de Nouvelle Calédonie !! Et bien sûr des équipes de métropole, parisiennes et/ou provinciales. Toutes se sont prises au jeu !
Bravo donc au staff d’Objectif Atlantide pour son travail de longue haleine qui permet aux participants de s’amuser sincèrement, tout en mettant en avant une destination plongée encore authentique. Et bravo aux participants, gagnants ou bons perdants pour leur motivation souvent sans faille et les moments sympas partagés.
Enfin, un grand merci à Blue Lagoon, le TO voyages plongée sans lequel rien de tout cela n’aurait été possible, et à toute l’équipe de Red Sea Diving Safari, qui saura sans aucun doute répondre à toutes vos attentes, s’il vous prenait un jour l’envie d’aller tremper vos palmes à Marsa Nakari.
Heïdi Lafeuil
pour Paradise Plongée
Crédits Photos: Osman Ersen, Heïdi Lafeuil...
Infos:
Site internet Raid International
Partenaires officiels du Raid International 2008 :
Après Rodrigues il y a deux ans, c’est à Marsa Nakari, dans un petit écolodge, que 13 équipes d’aventuriers se sont retrouvées pour 4 jours de compétition, où les neurones ont au moins autant chauffé que les palmes. Le but du jeu est très simple, le moyen d’y arriver nettement moins. Chaque équipe de trois plongeurs dispose d’un dossier de près de 80 pages, racontant l’histoire d’un naufrage, entre autre, dans lequel sont soigneusement cachés nombre d’indices. Autant dire que les premières heures du jeu, les yeux des joueurs se perdent dans les cartes, les photos satellites, lisent et relisent des infos sur l’histoire de l’Egypte ou sur des missions de la Calypso, quand ils n’essayent pas d’interpréter une fable de La Fontaine ou de décrypter les dernières paroles d’un mourant.
La qualité du scénario, qui nécessite des organisateurs un an de travail, saute aux yeux immédiatement. Les équipes doivent retrouver un trésor principal (cette fois-ci un vase contenant les pierres de Râ), ainsi que deux butins, sorte de trésors secondaires. Pour ce faire, ils doivent récupérer des indices, sur terre, en mer, où même pendant certaines animations (lors d’une cérémonie bédouine par exemple). Idée géniale, à Marsa Nakari, les concurrents disposent de deux moyens de transport : d’antiques taxis 504 (qui ont rajouté bien du piment), et des bateaux pneumatiques. Chaque équipe utilise alternativement l’un et l’autre, par demi-journée, ce qui oblige tout le monde à être méthodique dans ses investigations, certains sites de plongée étant plus facilement accessibles par bateau, et inversement. A chaque plongée, un membre de l’équipe assure la sécu surface, sur le bateau ou à terre. L’organisation a tout prévu, des cartes de téléphone égyptiennes sont distribuées dès le départ aux participants afin que tout problème puisse être géré au plus vite et deux bateaux de sécurité sont mouillés en limite de zone. Le nombre de plongées n’est pas limité, la seule contrainte : chaque équipe ne dispose que de deux blocs par demi-journée. Les indices se trouvant toujours dans la limite des 18 mètres, et les conditions étant idéales, cela permet de bien en profiter. Charge aux équipes de gérer leurs explorations comme elles le souhaitent.
Exceptionnellement, la première plongée s’est effectuée pour toutes les équipes sur le même récif. Les participants gonflés à bloc sont tous descendus en même temps sur un tombant où étaient dissimulés des dizaines de kilos de (fausses) amphores arborant des inscriptions en hiéroglyphes. En quelques secondes, la fièvre du trésor saisit tout le monde et c’est un spectacle particulièrement amusant que de voir tout un tas de plongeurs sains d’esprit parcourir en long et en large le récif en jetant des regards noirs à ceux qui ont déjà des tessons plein les bras. Certaines équipes remontent le sourire aux lèvres, nettement alourdies. D’autres font un peu grise mine avec leur maigre récolte. Le triomphe des uns et le désarroi des autres ne feront cependant pas long feu. Il ne faut pas bien longtemps pour décrypter les inscriptions à l’aide du dossier, et pour que chacun se rende compte que ceux qui ont ramassé des kilos de poterie se font fatigués pour rien. Les inscriptions ont beau ne pas être écrites de la même façon, elles sont toutes identiques. Ce sont les organisateurs qui ont bien rigolé !
Dès le lendemain, certains indices cruciaux sont découverts, à terre ou le long des récifs. Il faut d’ailleurs noter à quel point le staff de la chasse au trésor a su utiliser les possibilités géographiques du lieu. Certains indices sont cachés dans des ruines, d’autres sont en rapport avec le paysage (un rocher en forme de tête de serpent etc.…). Dès le départ, quelques équipes prennent de l’avance grâce à la découverte de morceaux de cartes. Mais Objectif Atlantide est un jeu plein de rebondissements où il ne suffit pas toujours de partir le premier… D’autres équipes, plutôt larguées en ce qui concerne le trésor, ne sont pas désoeuvrées pour autant et se lance à la recherche d’un butin. La Pierre bleue de Nout aura ainsi fait plonger, palmer, fouiller, marcher (plus de 12 kilomètres en pleine nuit pour certaines équipes), et fait chauffer les GPS. Les demi-journées passent et les messes basses à l’heure du repas vont bon train. Les rumeurs courent vite : telle équipe est à deux doigts du trésor, telle autre est sur la bonne piste mais il lui manque un indice, etc… En fait, aucun participant ne sait ce que recèle exactement le sac filet ou la poche de stab de ceux qui viennent de rentrer, ce qui est on ne peut plus excitant. D’autant que l’intox bat son plein, certains joueurs s’en font même une spécialité (c’est ainsi que des dollars ont fleuris dans le désert).
Arrive enfin la dernière après-midi, si souvent décisive dans les précédentes éditions d’Objectif Atlantide. Même les quelques équipes ayant abandonné les recherches faute d’indices brûlent d’impatience tout en plongeant sur les plus beaux récifs de la côte.
Au retour de plongée, les suppositions vont bon train. Personne n’avoue avoir trouvé le trésor… Toutes les équipes déjà rentrées s’interrogent et on commence à repérer les absents. L’équipe des bordelais, les Skletors, manque toujours à l’appel. « Ils ont plongé à deux endroits différents cette après-midi et là ils sont repartis »… ha ha, ils doivent être sur la bonne piste. Tout le monde les attend donc avec impatience. Et, à leur retour, les cerveaux s’emballent : eux non plus n’ont pas le trésor. Est-ce que quelqu’un l’aurait trouvé sans hurler sa victoire… peu probable. Alors que tout le monde a des questions plein la tête, le moment tant attendu arrive. Daniel Méouchy, responsable d’Objectif Atlantide, commence la cérémonie de remise des prix. Et c’est une grande première dans l’histoire du jeu, personne n’a remonté le trésor ! L’équipe étant la plus proche de la découverte et possédant le plus d’indices décisifs est déclarée gagnante. C’est donc l’équipe des bordelais qui triomphe, ils possédaient en effet tous les indices les menant au trésor, mais ils n’ont pu poursuivre leurs recherches, par manque d’air dans leur bouteille. Même si l’on ne peut cacher une légère déception, il faut noter l’efficacité avec laquelle les organisateurs d’Objectif Atlantide ont su gérer une situation inédite et délicate. L’équipe des pompiers de Paris Yachts de Paris - Scubapro a quant à elle remonté un des deux butins, la Pierre bleue de Nout qui avait fait passer des nuits blanches à quelques participants.
Virginie, la grande maîtresse du scénario et de l’intrigue d’Objectif Atlantide, explique alors les zones restées obscures à ceux qui n’avaient pas trouvé d’indices. L’imagination déployée est particulièrement impressionnante. Dauphin en terre cuite, bonnet rouge cher à l’équipage de la Calypso, véritable os de tortue portant des inscriptions, faux carnets de plongée, etc… Dans la chasse au trésor, il ne suffit pas de trouver des indices, il faut également faire preuve de subtilité pour les interpréter. Après toutes ces révélations, les neurones peuvent se détendre à l’apéro.
Le reste du séjour, qui s’étale en tout sur une semaine, permet aux différentes équipes de se retrouver lors de plongées d’exploration plus habituelles, à Elphinstone ou Dolphin House par exemple. Objectif Atlantide remplit donc parfaitement son contrat, offrir une part de rêve aux participants, qui se mettent dans la peau de véritables chercheurs de trésor tout en découvrant des sites de plongées et une région du monde de manière originale. Il faut d’ailleurs noter la volonté de respect de l’environnement qui transparaît à travers la Chasse au trésor. Outre le fait de loger les participants dans les tentes d’un écolodge, l’organisation a fait nettoyer des marsa (petites criques donnant sur le récif) où stagnaient nombre de déchets portés par la mer dans ces recoins du sud de l’Egypte. Les chargements de dix camions de déchets ont ainsi pu être incinérés. Une goutte d’eau dans l’océan, mais c’est déjà ça !
Un des intérêts de cette chasse vient de la diversité des treize équipes engagées. L’on y trouve à la fois des plongeurs de métiers, comme les deux équipes de pompiers de Paris (Bateaux mouches - Scubapro et Yachts de Paris – Scubapro), une équipe de la Marine Nationale (Navfco – Aqualung), l’équipe entièrement féminine d’Aqualung O Féminin avec notamment Caroline Avon, une équipe d’acteurs de la série télé Plus belle la Vie (Blue Lagoon), l’équipe de la FFESSM, des équipes sponsorisées (Le Vieux Campeur) et d’autres qui ont elles-mêmes réalisé des t-shirt avec leur propre logo, ainsi que des équipes du bout du monde. L’une d’elles venait tout droit de Nouvelle Calédonie !! Et bien sûr des équipes de métropole, parisiennes et/ou provinciales. Toutes se sont prises au jeu !
Bravo donc au staff d’Objectif Atlantide pour son travail de longue haleine qui permet aux participants de s’amuser sincèrement, tout en mettant en avant une destination plongée encore authentique. Et bravo aux participants, gagnants ou bons perdants pour leur motivation souvent sans faille et les moments sympas partagés.
Enfin, un grand merci à Blue Lagoon, le TO voyages plongée sans lequel rien de tout cela n’aurait été possible, et à toute l’équipe de Red Sea Diving Safari, qui saura sans aucun doute répondre à toutes vos attentes, s’il vous prenait un jour l’envie d’aller tremper vos palmes à Marsa Nakari.
Heïdi Lafeuil
pour Paradise Plongée
Crédits Photos: Osman Ersen, Heïdi Lafeuil...
Infos:Site internet Raid International
Partenaires officiels du Raid International 2008 :
