voyage plongée KiritimatiVoyage plongée Kiritimati

Je suis à Kiritimati, le plus grand atoll du monde et peut-être le plus ancien, coincé entre lagon et océan. L’horizon est partout. Cette ancienne île Christmas, appartient à la république des Kiribati (33 îles réparties entre îles Gilbert, îles Phoenix et îles de la Ligne) dont la capitale est Tarawa-Sud dans l’archipel des îles Gilbert, à 3300 km d’ici (4 heures de vol)... Dive now !
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Exposition zoom sur le plancton

Des micro-algues aux gracieuses méduses en passant par des larves aux allures monstrueuses, le plancton rassemble l’extraordinaire diversité des êtres vivants portés par les courants. Réalisée par le centre d’animation Garef océanographique, et adaptée pour le Centre de la mer, l’exposition "Invisible", zoom sur le plancton fait apparaître à tous cet univers riche et bigarré...

Présentée en 2007 au Palais de la découverte, cette exposition présente ces petits organismes à l’origine de grands phénomènes : production d’oxygène, chaîne alimentaire, cycles biologiques, biomasse, climat, géologie et énergie : les différents rôles du plancton sont aussi expliqués de manière dynamique et interactive dans un environnement placé sous le signe du « tout-petit » : loupes, microscopes et agrandissements photos nous ouvrent les portes d’une autre dimension.

Tour d’horizon du plancton
Visites guidées autour de l’exposition “Invisible, zoom sur le plancton”
Le jeudi à 15h30

26 mars : Le plancton, l’eau de mer et le carbone: Gérard Copin, maître de conférence, Observatoire océanologique de Villefranche-sur-mer
Le plancton végétal est l’équivalent des végétaux terrestres, mais n’est constitué que d’espèces microscopiques, pas de forêts ni de maquis mais des animaux de grandes tailles, notamment des baleines dont la masse est bien supérieure à celles des plus grands dinosaures, qui eux ont disparu.
L’océan est-il Jurassic Park ? Le plancton végétal produit autant de nourriture que tous les végétaux terrestres. Est-ce beaucoup ou peu ? Pourrait-on compter sur cette nourriture naturelle pour subvenir de manière substantielle aux besoins alimentaires croissants de l’humanité ? Est-ce la solution à la faim du monde ? Savez-vous pourquoi il était si difficile de s’échapper à la nage de la célèbre prison d’Alcatraz ? Pourquoi le mistral soufflant en été sur la côte provençale refroidit-il si rapidement les eaux ? Pourquoi les zones de résurgences sont-elles des zones où la pêche est abondante ? Tout est une affaire de courants marins…

2 avril : Nager dans le grand bleu sans nageoire: Jacqueline Goy, océanographe biologiste, Institut océanographique de Paris
Les animaux du plancton ont développé différentes stratégies pour vivre et se déplacer dans le grand bleu. Certains ont une densité proche de celle de l’eau de mer, ainsi les méduses et les groseilles de mer se déplacent un peu à la manière d’une goutte d’eau transportée au gré des courants. D’autres possèdent de grandes épines qui augmentent la surface du corps et les maintiennent à la bonne profondeur : les larves d’oursins et celles de crustacés peuvent ainsi rester dans les eaux de surface. La ciliature du corps contribue aussi aux déplacements des larves d’annélides et des cténaires. Les deux palettes natatoires des mollusques pélagiques et les immenses antennes des crustacés copépodes sont encore des moyens de locomotion originaux.

9 avril : Le plancton, magique et capital: Guy Jacques, océanographe, CNRS
Ernst Haeckel, biologiste et libre-penseur allemand (1834-1914), qui a écrit « ce qui est petit est beau mais n’est pas important » et Otto Friedrich Müller (1730-1789), pour qui l’étude du plancton est une « poussière philosophique », auraient mieux fait de ne pas utiliser leurs plumes….
Quoi de plus enchanteur et diversifié que d’observer au microscope du plancton ? Mais cette beauté ferait oublier que, sans phytoplancton, l’atmosphère ne serait pas devenue respirable, la mer serait dépourvue de poissons et de baleines, vous n’admireriez pas les falaises d’Étretat ou le Désert blanc égyptien et vous ne prendriez plus l’avion par manque de pétrole. Qui sait d’ailleurs si demain, le phytoplancton, ne constituera pas le seul biocarburant écologiquement acceptable ? Magie supplémentaire, ces êtres microscopiques, grâce à leur abondance et à la présence de chlorophylle dans leurs cellules, sont parfaitement détectés depuis l’espace. Si vous voulez tout savoir sur ce monde fascinant du plancton, rejoignez-moi !

30 avril : La mer, l’homme, le plancton: Pierre Mollo, enseignant, ancien producteur en aquaculture
La rivière, véritable trait d’union entre terre et mer
Les êtres vivants des océans ont besoin des nourriceries de marais littoraux pour se développer, comme la terre à besoin des forêts pour nourrir son sol. Les microorganismes du sol vont digérer les matières végétales en décomposition, à leur tour ces microorganismes par leurs déjections vont alimenter les bactéries qui se transformeront ensuite en sels nutritifs indispensables au bon développement des plantes aquatiques et terrestres. Le transfert des nutriments des espaces continentaux concourt à faire des zones humides littorales des sites privilégiés entre terre et mer. Du mélange subtil des eaux riches en éléments minéraux et des eaux océaniques naîtra une production abondante de phytoplancton qui, à son tour, alimentera toute la chaîne trophique du plancton. La grande diversité végétale et animale marine dépend de la préservation des équilibres naturels entre terre et mer. Du vivier de la mer nous vivrons si demain nous savons protéger le vivant de la terre.

14 mai : Le plancton: Myriam Sibuet, océanographe, responsable du projet COMARGE (programme international Census of Marine Life)

4 juin : La vie d’un être planctonique invisible: Paul Nival, professeur, Université Pierre et Marie Curie, Observatoire océanologique de Villefranche-sur- Mer
Comment voir sans être vu ? Comment manger sans être mangé?
Différentes solutions ont été trouvées par les espèces marines vivant en pleine eau. Une diversité étonnante d'espèces nous montre que des méthodes originales existent à côté de la méthode dominante, celle des copépodes. Comment se cacher lorsqu'il n'y a pas de cachettes ? En devenant invisible ou en restant dans l'obscurité ! Mais alors, comment trouver de la nourriture si toutes les proies sont invisibles? En prenant des risques, en se découvrant quelques instants pour aller là où la nourriture se fabrique. Comment se reproduire ? Où chercher son partenaire s'il est invisible ? En se signalant par de la lumière, en émettant des odeurs! Si la mer paraît infiniment homogène et bleue à notre oeil humain, elle est une forêt d'odeurs entremêlées.




Tarifs : plein 5 € - réduit : 3,5 € (- de 18 ans, étudiant de - 26 ans, chômeur)
Billets disponibles le jour même au Centre de la mer (10h-12h30 et 13h30-17h30)
Réservation conseillée au 01 44 32 10 95
Institut océanographique
Centre de la mer
195, rue Saint-Jacques
75005 Paris
01 44 32 10 70/71/90
www.oceano.org/io

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